1. Une chute de vélo (10)


    Datte: 28/09/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mandrakke, Source: Xstory

    ... repartis dans le sens inverse, cette fois en posant plus mes mains sur elle. J’augmentais légèrement la pression au fur et à mesure que je m’approchais de ses pieds, pour enfin, lui faire un massage de la voûte plantaire de mes pouces, un pied après l’autre sans chercher à la chatouiller. Je pus l’entendre ronronner très doucement sous mes doigts.
    
    Quelques instants plus tard, sans me presser, toujours en la caressant, tantôt de mes mains ouvertes, tantôt juste de l’extrémité de mes doigts, je repris l’ascension de ses jambes, repensant au jour où je les avait vues pour la première fois. Variant les pressions de mes mains, je lui caressais pour la première fois son genou blessé. Plus de croûtes, mais il était encore sensible et je pouvais sentir quelques fines crevasses à l’endroit du contact avec la route. Il était temps d’appeler du renfort. Sans cesser mes jeux de mains, je commençais à déposer doucement sur ses mollets des petits bisous, tout juste posés. Le ronronnement de Julie se fit moins discret, cela m’encouragea.
    
    Je pris tout mon temps pour remonter ses cuisses fermes. Mes lèvres posaient leurs baisers plus fermement et plus souvent aussi. Lorsque mes mains atteignirent ses hanches et ses fesses, ma langue vint jouer aussi sur sa peau. Juste la pointe, qui se posait par endroits, accompagnant la progression de l’ensemble dans un ballet harmonieux ou complètement anarchique selon le point de vue. L’ensemble de ses acteurs s’activant sur ce corps abandonné ...
    ... évitaient pourtant soigneusement le sexe de Julie, ronronnant de plus en plus fort. Son ventre plat devint bientôt le nouveau terrain de jeu de ma bouche, ma langue s’enhardissant, elle humidifia des zones de plus en plus larges, provoquant quelques fois des soubresauts dus aux chatouilles involontaires que je lui procurais.
    
    Mes mains naviguaient entre ses flancs, ses côtes, ses seins qui devinrent les points de ralliement réguliers de cette troupe ratissant consciencieusement le moindre centimètre carré de ce jardin merveilleux, s’attardant longuement sur les tétons durs comme la pierre, et réagissant immédiatement à la moindre sollicitation de ma part. J’avais envie de rester ainsi des heures durant, à profiter de cette poitrine généreuse et de son corps merveilleux. C’est peut être ce qui c’est passé d’ailleurs, je n’en sais plus rien, le temps ne s’était pas arrêté, non, il avait tout simplement disparu…
    
    Lorsque finalement, j’arrivai dans le cou de Julie après être passé par ses épaules, ses bras se refermèrent sur moi sans pour autant me bloquer. Je m’attardais longuement sur le moindre détail de son anatomie, son menton, sa bouche, ses joues, son nez, ses oreilles, jusqu’à arriver sur le bandeau improvisé qui était toujours à sa place. Je lui retirai doucement. Julie me gratifia d’un très large sourire, m’embrassa en me serrant fortement dans ses bras.
    
    — C’était génial mon amour !
    
    — C’était ? Mais c’est loin d’être terminé mon ange.
    
    Je repris mon action dans ...
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