1. Elisabeth s'éveille (5)


    Datte: 27/09/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eniluap, Source: Xstory

    ... ma rosette et, petit à petit, il entra dans mon anus. Je me crispai et des larmes coulèrent sur mes joues tant la douleur fut fulgurante. Sa bite me fendait en deux, j’avais l’impression d’être ouverte et dilatée comme je ne l’avais jamais été.
    
    — Mmmm... j’aime les trous du cul vierges... gémit-il en s’enfonçant jusqu’à la garde. Ton père aurait du te baiser direct ton trou de balle.
    
    Les vas et viens commencèrent, d’abord doucement, puis de plus en plus rapides. Mes cris de douleur cédèrent peu à peu la place au plaisir en même temps que papi caressait mon clitoris humide et gonflé. Ses râles de plaisir étaient bruyants et sa main libre pinçait mes fesses.
    
    — C’est magnifique, souffla-t-il en se retirant et en observant mon derrière. Ton trou est béant.
    
    Brutalement, il y enfonça à nouveau sa queue. A ce moment-là, il perdit le peu de contrôle qu’il possédait encore. Auparavant à genoux, il se leva pour s’asseoir presque sur moi tout en me baisant. Sa queue forait mon trou du cul et mes hurlements résonnaient.
    
    — Regarde-toi, cria-t-il en attrapant mes longs cheveux noirs, regarde dans le miroir la pute que tu es !
    
    Soumise, le ...
    ... visage rouge de pleurs, je me regardais en train de me faire baiser par mon grand-père. Je voyais sa bite entrer et sortir de mon cul, toujours plus violemment. Me chatte dégoulinait tant la honte de me voir ainsi m’excitait.
    
    — Tu aimes te faire enculer, ma petite fille chérie ! Hein ! Dis-le !
    
    — Oui j’aime ça ! Baise mon cul papi, baise-le !! Je veux être ton vide couilles !
    
    Je devenais folle de plaisir, à la limite de l’inconscience tant ses coups de butoir limaient profondément mon anus encore vierge quelques instants plus tôt.
    
    J’avais l’impression d’être une traînée et j’aimais ça.
    
    — Je vais remplir ton cul de sperme pouffiasse ! Tu veux le sperme de papi ?
    
    — Oui donne-moi ton jus !
    
    Il gémit et je sentis son jus réchauffer l’intérieur de mon corps. Un dernier coup de rein conclut notre baise sauvage. Il se retira de mon cul et me tira vers lui.
    
    — Embrasse-moi mon coeur.
    
    Je m’éxécutai. Sa langue joua avec la mienne et je me laissai aller dans ses grandes mains chaudes et viriles. J’avais l’impression d’être minuscule dans ses bras.
    
    — Ton trou du cul est à moi, chuchota-t-il, et il me tarde que ton père le découvre. 
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