1. Mon Cousin, mon amant (1)


    Datte: 25/09/2021, Catégories: Gay Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... m’excitent trop.
    
    Après un long baiser d’amour très profond, nous nous levons et allons à la douche, sous l’eau Dom m’embrasse de nouveau, je le prends de mes deux bras par le cou... est-ce une demande, une invitation ? Lui me saisit par une cuisse, me soulève et m’amène sur sa poitrine, son autre main me prend l’autre cuisse, et je l’enserre avec mes jambes à la taille. Sa bite est longue, bandée au maximum, il positionne le gland sur ma rondelle, invitation de ma part ? Demande de sa part ? Je suis maître du jeu, je suis mon libre arbitre.
    
    Tout est alors imperceptible, mais je la veux de nouveau. Je me retiens au cou de mon amant, il creuse les fesses et me présente son pieu de chair, je descends pour que ma rondelle reconnaisse le gland qui s’y imprime, je remonte à peine pour que les deux chairs restent en contact, puis me relâche pour que le gland ouvre sans violence ma porte, à nouveau, je me redresse un peu, Dom compense mon éloignement en creusant d’autant plus les fesses, la pression diminue, sans rien perdre du terrain conquis.
    
    Je continue mon imperceptible va-et-vient pour que mes chairs se détendent et s’ouvrent. Mon cousin me lâche, je me cramponne à sa taille avec mes jambes, je m’éloigne de son pieu en me tirant par son cou vers le haut. Il arrête l’eau, met une bonne dose de gel douche dans sa main, me l’applique sur les fesses et m’enfonce directement deux doigts dans l’anus.
    
    Les doigts jouent dans ma grotte, massent l’ouverture, puis quittent ...
    ... la place. Avec le gel, le terrain est devenu glissant, le gland se positionne naturellement sur l’anus, la moitié du bourgeon le pénètre. La pression augmentait de nouveau. Dom, de ses mains, me retient tout en écartant les fesses. Il laisse aller, le gland pénètre lentement régulièrement, mon anus s’ouvre, il devient douloureux.
    
    Je ne retiens rien, je le veux, je me laisse tomber sur le pieu dont la tête glisse et disparaît entièrement. La pénétration instinctivement me fait réagir, je veux ressortir, mais Dom compense totalement mon éloignement, je suis vaincu, je ne bouge plus, il ne bouge plus, nous sommes soudés l’un à l’autre. Sa bouche vient sur mes lèvres, sa langue me pénètre comme son sexe vient de me pénétrer. Ma langue répond comme mon cul se décontracte et laisse filer le tronc dans mon ventre.
    
    Il s’enfonce loin, il se crée une place dans mes chairs, sans douleur à proprement parler, seul le pourtour de l’anus brûle un peu. Je sens une résistance au fond de mon ventre, il est arrivé au bout, non l’obstacle à la poursuite de la pénétration est vaincu jusqu’à tomber sur son pubis. Plus rien ne bouge, le pieu se fait sa place, mon anus se libère complètement, mon cul phagocyte sa bite.
    
    — Ça va mon Chou ?
    
    — Oui ! Ne bouge pas encore, attends. Un peu avant fin de ta pénétration, il m’a semblé que tu butais au fond de mon ventre puis tu as continué un peu jusqu’au bout, pourquoi ?
    
    — Dans ton cul, il y a d’abord un grand espace puis au fond, une sorte de ...