Olga, Elodie et Philippe - 14- Un dimanche après-midi bien chaud.
Datte: 24/09/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... marcher lentement, en tortillant du cul, Elodie fit sensation. Sa démarche était incroyablement sensuelle et excitait les autres. Olga posa sa main sur la braguette de Mario, qui bandait comme un cerf, alors que Philippe dévorait Elodie des yeux.
Elodie prit tout son temps pour essayer successivement chacun des vêtements, depuis les collants, en passant par les jupes, les robes, les chemisiers, le tailleur. Elle réalisait combien elle était indécente et le spectacle érotique, l’exhibition qu’elle offrait, tant aux trois autres qu’au voyeur. Et ce d’autant plus qu’après chaque essai elle était dans le plus simple appareil, seulement avec ses chaussures. Ce qui sublimait Elodie était la formidable érection qui déformait le pantalon de Philippe et le regard de désir qu’il portait sur elle. Elle qui n’avait jamais fait ça, donnait l’impression d’être un mannequin, une professionnelle. Elodie sentait aussi que l’érotisme ambiant, ce spectacle lui-même l'excitait terriblement et avait déclenché chez elle les signes qui ne trompaient pas. Elle était comme une biche qui ne pouvait plus attendre encore bien longtemps la saillie du cerf.
Ne sachant pas trop quelle attitude adopter, Elodie, qui venait de finir son dernier essai et était nue, adressa à Olga un regard qui était comme un signal, afin qu’elle donne le feu vert pour la délivrance.
Olga comprit et elle non plus ne pouvait plus attendre. Elle fit tomber sa robe, adressa un signe de tête à Philippe, en direction ...
... d’Elodie. Ce geste était l’assentiment que la jeune fille et Philippe attendaient depuis si longtemps. Philippe se dirigea vers Elodie et la prit tendrement dans ses bras. Ils joignirent leurs lèvres dans un long baiser, jusqu’à ce qu’ils soient obligés de respirer. Elodie tremblait de tout son corps, non pas de peur ou de froid, mais de désir.
- Du calme, mon petit oiseau, je vais te rendre heureuse
Olga se mit à genoux devant le canapé, tendant son cul en direction de Mario, qui, de son côté, s’était débarrassé de ses vêtements. Elle lui adressa une supplique en Italien, qui était sans ambiguïtés:
- E tu, bellissimo maschio, mi scoperai come la puttana che sono. Voglio essere coperto! (“Et toi, beau mâle, tu vas me baiser comme la putain que je suis. Je veux être saillie! )
Dans cette même pièce, sous les yeux du voyeur qui, ayant sorti sa queue pour se branler, n’en ratait pas une et qui avait apprécié l’exhibition d’Elodie, deux couples s’apprêtaient à baiser côte à côte. Ou plus exactement, l’un, celui d’Elodie et de Philippe, allait faire l’amour, alors qu’à côté il n’était question que d’une brutale fornication, pour apaiser l’hypersexualité de l’épouse qui avait consenti enfin à offrir son mari à Elodie.
Ce qui se passait marquait une brutale rupture dans les arrangements du couple. Comme cela avait été le cas la veille, Olga attendait d’habitude le feu vert de son mari pour s’offrir aux amants qu’il avait préalablement choisis. Cette fois, parce qu'elle ...