Le Mâle de mer 1
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Humour
Lesbienne
Auteur: seaetsun35, Source: xHamster
La dernière semaine d’aout s’annonçait très ensoleillée. L’été était enfin la. Mon voilier, dans la marina, n’attendait qu’un équipage pour repartir jouer dans la houle. Chacun sait qu’il y a beaucoup plus de bateaux que d’équipages. Par conséquent c’est toujours une galère pour se trouver des équipiers fiables et compatibles entre eux.
Huit jours plus tôt, j’étais rentré d’une balade de 15 jours dans les Sorlingues et sur les cotes Anglaise avec un couple d’amis Paul et Elodie. Des équipiers parfaits mais des convives bien ternes . Ils représentaient les écolos-bobos tels que je ne les apprécie sans doute pas à leur juste valeur.
Lui était reparti au travail et elle restait encore la une semaine. On se croisait sur les pontons et en lui faisant part de ma recherche, elle me proposa de m’accompagner.
En passant un coup de fil a son mari pour m’assurer de son accord, il me demanda si je pouvais embarquer également leur nièce qui finissait ses vacances en Bretagne.
Elodie, l’épouse, ne me faisait franchement pas fantasmer. Les différentes parties de son anatomie, étaient toutes dignes d’intérêt, mais ne composaient pas un ensemble harmonieux. De plus, sa coupe de cheveux pouvait à l’occasion servir à enlever les toiles d’araignées, mais n’évoquait rien d’autre pour moi que les landes rases des Mont D’Arrée.
En faisant l’avitaillement, je m’enquérais de notre troisième équipière. Elodie me la décrivit comme une nana à peine sortie de l’adolescence, hyper protégée ...
... par ses parents et en fait toujours plongée dans ses bouquins. C’était une grosse bosseuse qui ne nous adresserait la parole qu’au moment des repas. Je me demandais déjà dans quelle aventure je m’étais fourré.
Nous partions simplement 4 jours et au pire je pouvais écourter le séjour en prétextant des problèmes techniques ou de météo.
Mercredi matin, 8h30 l’équipage est sur le pont et les amarres sont larguées. Le moteur ronronne agréablement. Mon fidele coursier se présente devant les portes de l’écluse. Les lamaneurs prennent nos aussières, et le niveau se met à baisser.
Agathe est bien telle que je l’imaginais, une grande fille mal habillée, à peine souriante. Elle s’est quand même fendue d’un « bonjour » quand elle est monté a bord et d’un « jm’installe ou, ho c’est pas très grand
• prend la seconde cabine arrière, ta tante s’installe dans la cabine avant
• ouai, faut s’habiller comment ?
• comme tu veux mais chaudement car avant 11h ce ne sera pas la canicule »
Les portes avales de l’écluse sont ouvertes. Les lamaneurs nous libèrent et en avant lente, nous quittons l’enceinte protectrice de l’écluse. En une demi-heure nous sommes au large. La brise légère nous incite à envoyer les voiles. Elodie comme d’habitude me donne un sérieux coup de main. Agathe totalement apathique regarde la manœuvre se faire et attend qu’elle soit achevée pour dire à sa tante :
« J’aurais pu le faire
• merci répond Elodie vaguement agacée, et bien, il reste à dérouler ...