1. la lingère (1)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Lys-Royal, Source: Xstory

    ... fesses, sa chatte. Elle ne sait plus ce que le Maître fait. Elle divague, supplie. Il étire ses lèvres produisant des ondes puissantes amplifiées par le martèlement des doigts toujours violemment empressés dans son vagin. Son corps et en feu. L’homme prend plaisir à faire retomber la pression en allégeant son emprise. Il ne la touche plus. La Belle, supplie :
    
    — Je vous en prie n’arrêtez pas ….Pitié continuez …
    
    — Écartez vos jambes ! Mieux que ça !
    
    Elle s’exécute, soumise, désireuse d’obéir à cette voix grave qui la mène au plaisir. Des sanglots dans la voix elle implore :
    
    — Non, ne me laissez pas comme ça … C’est trop bon,... Je ferais tout ce que vous voudrez, mais continuez, je vous en prie …
    
    — Tout ce que je voudrais ? Demande l’homme.
    
    — Oh oui ! Tout ! Je le jure ! S’il vous plaît Monsieur ….
    
    Satisfait le maître laisse ses mains habiles reprendre possession de cette croupe rouge et tendue vers lui. Il claque les fesses puis les caresses délicatement, alternant les sensations à un tel rythme que sa captive ne sait plus si c’est la douceur et la douleur qu’elle recherche. Trois doigts abusent profondément son sexe béant fouillant impitoyablement tous les plis, chaque recoin est livré à leurs obscènes explorations. Les hanches de la Belle partent à la rencontre de son plaisir se livrant chaque fois un peu plus au libidineux professeur qui masturbe violemment, mais avec une maestria ...
    ... fabuleuse, son clitoris.
    
    La jeune fille sanglote en appelant la délivrance. Son corps, secoué de tremblement arrive au paroxysme du plaisir. Alors, l’adroit pédagogue, tout en continuant à pilonner de ses doigts le vagin ruisselant, glisse son petit doigt dans le cul de son élève.
    
    La jouissance est immédiate, violente, survoltée. Elle hurle, les larmes mouillent son visage extatique autant que sa cyprine, torrent furieux qui se déverse sur les mains laborieuses de son pédagogue.
    
    La tempête acharnée qui ébranle tout son jeune corps semble ne pas connaître de fin tant la jouissance la propulse sur le sommet des crêtes, là où l’orgasme ravage les sens de sa délicieuse nuit infinie.
    
    Lorsque l’homme pose une main apaisante sur le sexe gonflé et palpitant une bienheureuse lassitude la détend.
    
    Elle lève, ses yeux marrons, éperdus de reconnaissance vers son maître. Celui-ci la relève avec une infinie douceur, essuie avec un mouchoir les larmes du joli visage. Il l’écarte de lui, s’agenouille devant elle et lui retire son string pour éponger avec une courtoisie chevaleresque, son entrecuisse.
    
    — Voilà Mademoiselle, vous savez à quoi vous en tenir. Une bonne note vous jouissez. Une mauvaise et vous n’aurez droit qu’à la fessée, le choix vous appartient.
    
    Et sur ces dernières recommandations le professeur quitte la salle en ayant pris soin d’empocher son trophée ; un petit bout de dentelle noire. 
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