1. Ma nièce et moi


    Datte: 31/01/2018, Catégories: Hardcore, Masturbation Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... vingt-deux jours. »
    
    J’ai pris une gorgée de champagne en la regardant. Ses yeux brillaient et j’avais terriblement envie de la voir à poil.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Dans ce cas, je te demanderais juste de ne dire à personne qu’on a fait cet essai tous les deux, d’accord ? Et je dois te prévenir tout de suite que je n’ai pas de préservatif. Est-ce que ça te pose un problème ? »
    
    « Non, aucun, dit Sarah en reposant son verre sur la table. »
    
    « Dans ce cas, je te propose qu’on s’éloigne et qu’on se trouve un coin tranquille dans le parc. »
    
    « Ça marche, dit-elle. On se prend une bouteille de champagne ? »
    
    Quelques minutes plus tard, elle se foutait à poil devant moi. Elle n’avait eu qu’un geste à faire pour cela : dénouer la ficelle blanche dans son cou, puis la robe était tombée dans l’herbe de ce secteur isolé du parc. Elle avait des petits seins coniques et la chatte lisse. Sa peau était très claire et ses jambes assez longues. Elle titubait et suivait mes gestes tandis que je finissais d’ôter ce que je portais sur moi.
    
    Quand je fus tout nu, elle vint vers moi et tendit sa main vers ma queue qui était à moitié raide. Elle l’a branlée un peu, puis elle a dit :
    
    « Dis-moi ce qu’il faut que je fasse. »
    
    Sur ces mots, je me suis mis à lui tripoter le sein gauche. Il était ferme, mais tout mou. Ma bite prenait du volume entre ses doigts et elle la fixait du regard d’un air très sérieux.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Tu aimes le cul ? »
    
    Elle m’a brièvement regardé ...
    ... avant de répondre :
    
    « Oui. »
    
    « Tu as un copain ? »
    
    « Oui. »
    
    « Donc, tu es une salope. »
    
    « Oui. »
    
    « Dis-le moi en me regardant dans les yeux. »
    
    Elle a levé les yeux, sans cesser de me branler, et dit :
    
    « Je suis une salope. »
    
    Sur ces mots, ma main a délaissé son sein pour s’acheminer vers sa chatte. J’ai d’abord caressé son pubis lisse, puis j’ai aventuré un doigt en lisière de ses lèvres que j’ai trouvées trempées.
    
    Je la regardai :
    
    « Touche mes couilles. »
    
    Elle a obéi, tout en suivant son geste des yeux, et j’ai ajouté :
    
    « Tu aimes les bites, petite pute ? »
    
    Elle a souri et répondu :
    
    « J’adore qu’on me traite de tous les noms. Mon copain ne le fait pas. Je le trouve un peu coincé à différents niveaux. Oui, j’aime les bites. »
    
    « Alors mets-toi accroupie et suce-moi. Ouvre tes cuisses et branle-toi en bavant sur mon gland, petite putain. »
    
    Elle a aussitôt obéi et s’est mise à me sucer, tout en s’enfonçant un doigt entre ses cuisses grandes ouvertes. Elle gémissait et soupirait. Et moi je lui caressais la tête, doucement. Sa langue était divine. Elle s’enroulait autour de mon gland, sans épargner la fente. Ça me soulevait le ventre et j’apercevais sa main qui s’affairait entre ses cuisses. Elle avait dix-sept ans, j’en avais quarante-sept, et elle était en train de me sucer la queue. Elle était à poil et on entendait toujours le vacarme que faisaient les autres, près de la piscine, à cent mètres de là.
    
    Un peu plus tard, je lui ...
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