Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (35) : loin de Hassan, proche de Philippe.
Datte: 02/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... très vite après le repas et que Philippe me donne tout le plaisir qu'il m'avait promis. Naïvement, je n'imaginais pas encore ce que Philippe avait manigancé. Pourtant, le connaissant, j'aurais dû me douter qu'il voulait faire coup double : renouer le couple entre candaulisme et hypersexualité.
Nous avons pris l'apéritif dans le coin salon. J'étais assise sur le canapé avec Philippe à côté de moi. Pierre et Olivier étaient dans les fauteuils en face de nous. Je regrettais d'avoir ôté ma culotte. Ma robe remontait plus haut que mi-cuisses, et je serrais les jambes au maximum pour que ces deux hommes n'aient pas une vue imprenable sur mon intimité. Je n'osais pas bouger. Je voyais bien qu'Olivier avait les yeux fixés sur mes cuisses et était à l'affût de tous mes mouvements. L'apéro n'en finissait pas. Je me sentis enfin soulagée quand Philippe lança :
- Eh bien, passons à table.
Et au moment où je me levais, il me dit dans l'oreille :
- Petite salope, je suis certain que ta chatte est prête à se faire baiser.
Immédiatement je sentis couler entre mes cuisses ma liqueur. Je lui répondis :
- Oh oui je n'attends que ça, je n'en peux plus.
Pendant le repas Philippe, qui était assis à côté de moi, a posé la main sur l'intérieur de ma cuisse. Il l'a remontée doucement jusqu'à mon sexe et l'a effleuré avec ses doigts. Ce simple contact furtif, que j'espérais depuis si longtemps, m'a arraché un soupir non contrôlé. Ce que venait de me faire Philippe, bien que ...
... dissimulé par la table, ne faisait aucun doute dans l'esprit des autres hommes. Pour preuve Pierre, pourtant discret depuis le début de la soirée a lancé :
- Eh bien Olga, tu es toujours aussi' sensible, si j'ose dire.
Je baissai les yeux et j'étais à la fois couverte de honte et excitée.
A part cet épisode, le repas s'est très bien passé, je commençais à me décontracter, l'alcool aidant. Et les plaisanteries fusaient. Bien sûr, je sentais qu'Olivier me regardait de façon vicieuse et qu'il me draguait sans prendre de gants, mais je trouvais finalement ça plutôt drôle et je le laissais faire en lui envoyant quelques sourires aguicheurs.
Après le repas, nous avons repris les places que nous avions durant l'apéritif. Je pensais qu'Olivier et Pierre allaient bientôt partir et que j'allais enfin avoir ce que j'étais venue chercher : de la tendresse et du sexe.
Au bout de quelques instants, Philippe s'est collé à moi et m'a embrassé dans le cou. De nouveau la situation me gênait, mais Philippe n'en resta pas là. Il se mit assis sur un fauteuil puis me fit signe de venir, face à lui, sur ses genoux. Il m'a pris la bouche et m'a donné un baiser long et passionné. Il était très excité et il a commencé à me caresser la cuisse. Je sentais que sa main essayait d'écarter mes cuisses et qu'il voulait me caresser la chatte. Je maintenais mes cuisses le plus serré possible pour ne pas m'exhiber devant Olivier et Pierre, mais je voyais bien ce que souhaitait Philippe.
Je n'osais ...