Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (35) : loin de Hassan, proche de Philippe.
Datte: 02/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... mal, petite putain ? Je vais te casser le cul !
- Oui, tu me déchires, arrête, je n'en peux plus.
- Tu n'as qu'à te branler le clito, ça te soulagera ! C'est bon de te forcer ainsi. Tu es bien serrée. Tu es bonne !
Hassan mit fin au supplice, car il voulait se vider dans ma chatte. Hassan s'est mis à me besogner comme il savait faire, à me pilonner. Je me concentrais, pour faire en sorte d'être ailleurs. Il possédait mon corps, pas mon âme. Je tournais mon visage, refusant absolument de lui donner mes lèvres. Me couvrant d'insultes, il me baisait avec une violence inouïe, il ne se serait pas comporté autrement s'il m'avait forcé.
Je retenais mes gémissements, même si mon corps par moment me trahissait. Je maudissais cette jouissance qui venait contre ma volonté.
Je poussais un léger cri de plaisir au moment où Hassan se vidait en moi. Je refusais à nouveau qu'il m'embrasse et ne pus m'empêcher de dire, dans un état second, mais avec la volonté de le provoquer : « Philippe, je t'aime ».
La réaction fut violente. La gifle partit instantanément : « salope ! »
Hassan se leva et alla finir la nuit dans la chambre d'ami. Dès ce soir-là, notre mariage était de fait terminé.
Désormais, Hassan se comportait envers moi avec une grande brutalité. Il n'y avait plus entre nous la moindre tendresse. Quand il s'adressait à moi, c'était pour me faire des reproches sur la tenue de la maison, sur mes talents de cuisinière, sur les soins apportées à "sa" fille. Il ...
... veillait à m'humilier particulièrement devant ses amis et devant sa famille, enocuragé par Kamel et surtout par Hassna qui lui recommandait de me punir "comme elle mérite".
J'avais toujours malheureusement droit à nos relations quotidiennes fréquentes, dès qu'il avait envie de se vider les couilles. Ce qui avait été pour moi un immense plaisir était devenu un chemin de croix. Le mâle se contentait de me saillir, attentif à son seul plaisir. Cela se passait quand il avait envie.
- Descends ta culotte et penche toi sur la table, je vais te la mettre.
J'obéissais, en espérant que ça se finisse le plus tôt possible. La douleur que me provoquaient ces étreintes brutales, presque bestiales, me permettaient de contrôler la montée du plaisir qui venait malgré moi. Il me fallait quelquefois me mordre au sang pour éviter l'orgasme, car je ne voulais à aucun prix lui donner cette satisfaction.
Le pire c'était les sodomies, qui étaient particulièrement douloureuses.
Hassna nous surpris un jour en plein coit. Hassan s'excuse...auprès d'elle pour le spectacle. Elle lui répondit:
- Ne t'excuse pas mon cousin, tu es chez toi et c'est ta femme. Vas-y, continue, ne la ménage surtout pas, c'est comme ça que tu dois traiter cette prostituée!
On me dira que j'aurais pu et dû quitter rapidement le domicile conjugal avec mes filles. J'étais résolue et impatiente de quitter Hassan, mais seulement quand Philippe aurait estimé que j'aurais choisi en connaissance de cause. Je comprenais ...