1. La bourgeoise et le marabout (36)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... véritables poires !
    
    — Quel bonheur de profiter d’un tel cul !
    
    Leurs mots crus décuplent mon plaisir et je fais comprendre au cinquième que j’ai envie de le sucer avant qu’il ne me baise. Grégor continue à faire des photos, François sera ravi !
    
    On se vidange de nouveau en moi, ma chatte et mon cul dégoulinent de jus. Le cinquième, bandé comme un arc, s’allonge et je viens de nouveau dessus. Trempée comme je suis, il n’a aucun mal à s’introduire dans la place. Le passage est déjà bien ouvert et je contracte mes muscles vaginaux pour bien serrer sa queue. Il semble apprécier, car il se met à me dévorer les seins.
    
    Soudain, on me remet une couverture sur le dos, et Grégor libère Stark. Très certainement excité par l’odeur de foutre qui se dégage de moi, l’animal me lèche le cul et recueille toute la semence qui s’en échappe. Puis il se remet sur les pattes arrière et ce diable de Grégor guide son chien pour qu’il glisse sa tige dans ma chatte. C’est maintenant avec deux queues plantées dans mon corps que je gémis comme une salope. C’est une première pour moi, car une double pénétration, par un homme et un chien, n’est pas chose courante. Mais leurs coups de boutoir m’irradient le bas-ventre et je jouis comme une folle les yeux fermés. Puis, c’est de nouveau un déferlement de foutre dans la chatte et je suis emportée par un énième orgasme. Lorsque l’animal et le chasseur se retirent, mes deux orifices restent grands ouverts, et des filets de semence coulent le long de mes jambes. Je suis exténuée, mais oh combien comblée !
    
    Lorsque Grégor me dépose devant chez moi au petit matin, je suis encore sur mon petit nuage. Stanislas a gardé mon string, en trophée, et je serre les jambes pour ne pas mettre du foutre partout dans les escaliers. Je prends une bonne douche puis rejoins la chambre conjugale. Je m’endors aussitôt ; s’il le souhaite, François peut me prendre dans mon sommeil, comme mes orifices, la chasse est toujours ouverte...
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