Partie carrée à l'hôtel
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
grp,
fplusag,
hagé,
jeunes,
cocus,
hotel,
boitenuit,
Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe
... temps.
À peine avait-elle fini de crier que j’entendis son mari grogner de plaisir. Il tenait sa partenaire fermement aux hanches et redoublait d’ardeur pour la pistonner. Sous cette accélération de l’assaut, je vis le visage de Christine se crisper, et elle gémit en jouissant elle aussi. J’imaginais que son sexe devait palpiter et se resserrer autour de la verge de Charles-Henri et lui procurer une superbe excitation. Effectivement, ce dernier ne tarda pas à jouir aussi ; mais alors que je pensais qu’il profiterait de ce superbe fourreau torride pour s’épancher, il se retira et vint placer sa queue dans le sillon culier de telle sorte que son gland vienne dépasser au-dessus des fesses de la belle. Il fit quelques allers et retours en se frottant et lâcha sa décharge.
Il avait une belle grosse bite, Charles-Henri, mais aussi une grosse bourse, et elle était bien pleine. La première giclée fut si violente qu’elle retomba dans les cheveux de Béatrice, prostrée en position de levrette, ma bite toujours enfoncée dans son vagin dégoulinant de foutre. Les autres vinrent maculer tout le dos de Christine qui, elle aussi, finissait de jouir.
Fasciné par le spectacle des orgasmes de mes camarades de jeu, j’étais le seul à ne pas avoir éjaculé. Christine, qui était celle qui avait le moins perdu la notion du réel, se dégagea de l’étreinte de Charles-Henri et, se redressant, attira l’attention des autres.
— Hé, c’est pas de jeu, ça : Marc n’a pas déchargé ! Viens ici ; tu vas ...
... voir, je vais m’occuper de ton cas…
Elle me fit coucher sur le dos, m’enjamba et vint s’empaler sur ma verge qu’elle tenait droite d’une main. Aussitôt elle se mit à me chevaucher avec application.
— Ah… J’en avais envie !
Les yeux fermés, je savourais ce moment. Je lui pris les fesses pour rythmer le mouvement m’appliquant à les caresser avec douceur. Elle se coucha plus sur moi, et les pointes de ses seins vinrent frôler ma poitrine, créant des ondes frissonnantes sur ma peau.
Puis je sentis qu’une main empoignait la base de mon sexe, tirait la peau sans doute pour bien me décalotter le gland, me caressait les couilles et profitait certainement de cette position pour investir aussi le sexe de ma cavalière qui se tortilla avec volupté, amplifiant les caresses de ses bouts de seins sur ma poitrine.
J’avoue que je me suis un moment demandé si la main qui me caressait la bite et le doigt qui me titillait l’anus n’étaient pas ceux de Charles-Henri. Je fus rassuré quand je le vis allongé près de nous. D’une main il pelotait les seins de Christine, et de l’autre il se manipulait la verge pour la faire bander à nouveau. C’était donc Béatrice qui officiait. Elle ne tarda pas à remplacer sa main par sa bouche, me léchant doucement les boules et la base du sexe.
C’est à ce moment que je déchargeai. Contrairement à Charles-Henri, je ne cherchai surtout pas à concurrencer l’arrosage municipal. Je pris un pied terrible à jouir dans cette chatte bien chaude et bien plus ...