Retour en arrière
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
ffh,
couplus,
alliance,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
Auteur: Fabien, Source: Revebebe
... bains et en ramena quelque chose qu’elle cacha sous un coussin.
Elle s’agenouilla devant sa sœur, lui prit la main et la posa sur mon pénis.
Ensuite, elle lui retira son tanga, faisant apparaître ce délicieux petit fruit fendu et défendu jusque-là.
Marina n’osait pas bouger, surprise de la tournure des évènements. Je recommençai à lui caresser les seins et le ventre, et tout doucement elle commença à me branler avec une douceur infinie.
Après l’avoir arrêtée plusieurs fois, à la limite de l’éjaculation, je l’allongeai sur le sofa et commençai à la caresser de mes lèvres, sur la joue, sur les lèvres qui se tendirent instinctivement, sur le cou et les seins que je commençais à bien faire réagir.
Je repartis en direction de son ventre, atteignant cette zone infiniment douce, juste au-dessus du pubis.
Tous les hommes vous le diront, caresser des lèvres un ventre de femme ou l’intérieur de leurs cuisses est un véritable enchantement.
Mon petit manège commençait à produire son effet et, chaque fois que je passais du ventre aux cuisses, ma douce belle-sœur se tendait pour essayer de m’orienter vers son petit fruit juteux.
Enfin, en remontant, je vins recueillir un peu de nectar du bout de la langue, progressant encore, je frôlai le petit bouton dressé, sorti de son capuchon , ce qui fit bondir Marina. Elle saisit ma tête à deux mains et me plaqua contre sa vulve parfumée. Ma langue entreprit un ballet fougueux, déclenchant des soupirs de plus en plus ...
... profonds.
Aurélie recommença à me masturber lentement, laissant sa main courir tout au long du membre avide de sensation, exerçant une pression plus forte en atteignant le gland.
Ses lèvres vinrent accentuer la sensation de folie qui montait en moi et, lorsque je sentis sa langue entamer un doux ballet bien connu, tout mon être réagit et mes reins retrouvèrent les gestes innés de l’amour primitif : je baisais sa bouche.
Proche de l’extase, j’eus un mouvement de dépit quand elle m’abandonna puis, lorsqu’elle commença à m’enfiler un préservatif, je compris son passage à la salle de bains et fus heureux de cette préméditation.
Abandonnant à mon tour le petit nid d’amour, je me redressai et du bout du gland vins caresser les petites lèvres épanouies, roses de plaisir et brûlantes à souhait.
À chaque passage sur le clitoris, Marina faisait un bond et tendait son ventre affamé.
La douceur de cet antre chéri faisait monter le long de mon ventre des frissons de plaisir se transformant peu à peu en vagues voluptueuses, au fur et à mesure de ma progression au sein du doux paradis.
Marina était aux anges et serrait contre elle sa sœur qui lui caressait doucement les seins.
Arrivé au bout de ma résistance, j’imprimai une poussée plus virile à mon sexe impatient et sentis enfin le soyeux duvet blond caresser mon ventre.
J’étais entièrement en elle, immobile, goûtant à ce plaisir charnel de ne plus faire qu’un, sentant monter le plaisir pas à pas.
Je m’étais allongé ...