1. Dépucelage anal de Célia, ça dérape ! (3)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: votreservice, Source: Xstory

    ... vous preniez tous deux votre journée, un copieux petit-déjeuner, grande toilette et épilation, même pour toi John. Et à partir de midi, vous vous faites mutuellement les trois lavements. Aucun rapport pendant la semaine. Pour ce week-end, profitez un maximum.
    
    — Nous ferons comme vous désirez.
    
    — Célia, tu t’habilleras avec la tenue short et tee-shirt que je t’ai achetés, équipée du Rosebud et d’une pince de sein côté droit ; John, tu resteras nu. Cette fois, vous vous occuperez de commander le repas pour le soir. J’arriverais à 19h45 précise, tout devra être prêt.
    
    — Ce sera prêt, comptez sur nous...
    
    — Bon week-end et bonne semaine.
    
    Nous avons passé un week-end merveilleux, faisant l’amour plusieurs fois ou plutôt baisant comme des sauvages. John m’a à nouveau sodomisé et j’ai aimé cela. Les discussions allant bon train et John s’angoissant de son dépucelage à venir. La semaine passa très vite et nous avons eu du mal à nous contrôler. Mais nous avons tenu sans rapports du lundi au jeudi soir. Vendredi arrivé, nous avons commencé à suivre les consignes de Monsieur. John me faisant le premier lavement puis je fis celui de John. Répétant trois fois l’opération. Et à 19h00, nous étions déjà prêts à recevoir Monsieur. Bien sûr, à 19h45 précise, on sonne à la porte et me précipite pour ouvrir.
    
    — Bonsoir Célia, je vois que tu as respecté mes consignes. Mais j’aimerais que ce soit John qui vienne ouvrir ... on recommence, retourne dans le salon.
    
    Je referme la ...
    ... porte et vais expliquer à John que c’est à lui d’aller ouvrir (je rappelle qu’il est nu et épilé avec soin). Re sonnerie de la porte, John se lève et va ouvrir. J’entends une conversation qui s’entame et qui continue à la porte. Intriguée, je m’approche, la porte est grande ouverte, John est nu et tétanisé par Monsieur qui prend plaisir à rester sur le palier traînant sur les politesses d’usage, au risque qu’un voisin ne déboule. Me positionnant à côté de John, Monsieur me prend par la taille et me roule un patin d’enfer auquel je réponds avec plaisir. Puis nous rentrons et John ferme enfin la porte.
    
    — Alors je vois que vous semblez être prêts.
    
    — John : - je ne suis pas sûr de vouloir aller jusqu’au bout.
    
    — Et bien, nous allons voir cela tout de suite. (Ouvrant sa mallette, il en sort un Rosebud identique au mien) Célia, veux-tu installer ceci dans le petit trou de John s’il te plaît ?
    
    — De suite Monsieur. John chéri positionne-toi sur le canapé que je t’assouplisse un peu.
    
    Je me mets à lécher sa rosette... Monsieur me conseille d’écarter petit à petit de mes deux pouces, puis de rentrer un peu d’un pouce, donner le Rosebud à sucer à John, puis enfin de pousser le Rosebub dans le fondement de John qui émet un gémissement plus de plaisir que de mal.
    
    — Bon il est temps de servir l’apéritif. John, ce sera un whisky glace pour moi. Et pour toi Célia ?
    
    — Un martini frappé s’il te plaît mon chou.
    
    — Vous avez commandé quoi à manger ce soir ?
    
    — Nous ne savions ...