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Une querelle qui se termine bien
Datte: 31/07/2018, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo, Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe
... de lui faire un certificat de travail. Je dois dire qu’elle était repartie assez sonnée mais faisant la fière, tête haute, comme si elle voulait me faire savoir que son licenciement ne la touchait pas. Personnellement, j’étais assez gêné d’avoir à la mettre à la porte car je l’aimais bien et je ne comprenais rien à ses actes ; à aucun moment dans la discussion elle n’avait fait référence à une crise quelconque, qu’il s’agisse d’une crise due à de mauvais rapports entre nous ou d’une crise financière. Cela ressemblait nettement à un acte gratuit car je lui avais déjà dit qu’en cas de besoin d’argent j’étais prêt à lui en prêter ; mais il fallait au moins qu’elle le demande ! Je connaissais depuis 6 ans sa situation économique : elle arrivait à vivre petitement avec sa fille dans un 2 pièces en HLM, la plus grosse partie de ses revenus provenant du travail et des extras qu’elle effectuait chez moi ; elle pouvait avoir en plus chez d’autres employeurs des heures de travail l’après midi mais c’était très fluctuant du fait qu’elle voulait s’occuper le mieux possible de sa fille et qu’elle avait repris ses études en langues étrangères. Certes, ses parents (je les connaissais très bien car ils étaient très amis avec ceux de Charlotte avec qui j’avais gardé des liens étroits malgré la défection de leur fille) l’aidaient de temps en temps, surtout pour s’occuper d’Émilie, mais ils n’avaient que de petits revenus, sa mère étant caissière dans un supermarché et son père à la ...
... retraite. °°°°°°°°°°°°°°° Je l’avais mise à pied vers le 14 juin et nous étions le samedi 4 juillet vers 13 h 30 ; avachi dans un fauteuil près de la fenêtre ouverte donnant sur la terrasse, en tenue décontractée et mules aux pieds, je réfléchissais, tout en dégustant un café bien tassé, à ma situation domestique. Le départ de Virginie n’arrangeait pas mes affaires : il fallait faire les courses si je voulais manger, faire ma lessive et parfois le repassage, et il fallait aussi que j’entretienne l’appartement (mes plantes vertes souffraient beaucoup !). Il était urgent que je trouve quelqu’un pour la remplacer. Certes, j’avais vu et étudié beaucoup d’annonces ; j’en avais retenu certaines mais il fallait que j’auditionne les candidates. Je réfléchissais aux critères qui devaient me guider dans le choix de la perle rare. Je dois dire que j’étais très indécis sur la manière de gérer ces entretiens ; en fait, je musardais. « Drrrrr ! » La sonnerie enrouée de l’interphone me sortit de ma léthargie. Je me levai d’un bon en bougonnant, traversai la salle de séjour et appuyai sur le bouton d’ouverture de la porte du bas sans y penser (réflexion faite : il aurait été plus prudent que je demande à qui j’avais à faire) en annonçant « 6ème gauche ». Dans le même sursaut j’ouvris ma porte palière et attendis le visiteur sur mon pas de porte ; plus que surpris, je vis Virginie sortir de l’ascenseur. Que me voulait-elle ? Elle était habillée avec une petite robe d’été couleur paille ...