1. Gilbert me craque la craquette et plus...


    Datte: 31/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... rompre le rythme, avec une précision de sniper. Là, je dois dire que je fais « oups !». Sa verge n’est pas disproportionnée, mais pour une première intromission de la journée, je la sens passer. Je serre les dents et c’est seulement après quatre ou cinq allers-retours que le confort s’installe et que je pressens une fin de parcours plus favorable. J’adore la sodomie et depuis fort longtemps, comme dirait mon compagnon, je suis ambidextre du cul. Drôle de formule ! Ce vieil expert de la chose ne reste pas inactif de ses mains. Son pouce, introduit dans ma chatte me frictionne intelligemment le point G, d’une manière trop technique pour être innocente. Gilbert me masse au rythme de l’enculade en synchronisant ses gestes au mouvement du bassin, il reste très à l’écoute de mes encouragements que je dois exprimer en veilleuse compte tenu de la situation.
    
    Me voilà bizarrement prise d’une envie d’uriner, mais je ne veux pas mettre brutalement un terme à cette première rencontre. Je sens bien qu’il ne faudra pas deux heures à Gilbert pour me faire grimper aux rideaux et en même temps m’envoyer sa giclée de jute. C’est incroyable cette endurance. Il ne dit rien, Gilbert baise comme un ouvrier studieux usine avec précision sa pièce sur l’établi. Cette double pénétration me fait monter la fièvre avec une tension inhabituelle, je sens que je vais partir et c’est là que Gilbert dégage son pouce de mon vagin, m’attrape par les hanches et s’enfourne au plus profond de mes ...
    ... intestins.
    
    À ce moment précis, le vide de ma chatte fait que je me relâche et je jouis d’une manière jusqu’alors inconnue. Mon bas-ventre se vide d’une liqueur abondante sur la moquette du coffre, le pare-chocs et les « Running-shoes » de Gilbert. Plus le baudet me défonce et plus ça gicle. Je n’en vois pas la fin. Chaque pression dans mon cul accentue mon orgasme, je mords le dossier pour éviter de hurler comme une dingue. Gilbert manœuvre jusqu’à l’épuisement complet de ma jouissance. À l’écoute de mon dernier râle de plaisir, il lance une ultime profonde estocade et me remplit les tripes de son foutre bouillant. Nous restons deux ou trois minutes sans bouger, juste à savourer, Gilbert est muet. Ensuite, sans même paraître ni un peu essoufflé, ni un peu satisfait, il s’extirpe et prend ses cliques et ses claques aussi discrètement qu’il est arrivé.
    
    En le voyant à travers le pare-brise avant, déclencher son chrono, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer qu’il ne va pas réaliser son meilleur temps de la semaine sur les prochains kilomètres et que ce soir, ce sera tintin. Rien du tout pour sa douce.
    
    Affalée dans la flaque de mes liqueurs, en état de sidération, je reprends mon souffle, étonnée par cet ouragan de sensations qui vient de s’abattre sur moi en si peu de temps. Je me souviens alors de la première impression que j’avais exprimée sur Gilbert lors de mon emménagement, il y a quelques années : « Il me paraît très bizarre ce gars, il ne doit pas faire les choses comme tout le ...