1. Poulets barbus et autres esthétismes


    Datte: 31/07/2018, Catégories: fffh, uniforme, grosseins, entreseins, pénétratio, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... qui avaient des gros seins.
    
    _ Mais elles ressentent que dalle ! Enfin si, comme toi et puis voilà ! Tu es très belle comme tu es, ne change rien !
    
    _ Bazouk, est-ce que c’est réversible ?
    
    _ Oui, très facilement, répondit l’interpellé d’un ton assuré.
    
    _ Mais arrête ! Tu es folle ! C’est dangereux ! Tu n’as pas vu de quoi il est capable ? Au lieu de te gonfler les seins, il va te gonfler les oreilles, ou le nez ! Et quand tu lui demanderas de l’enlever, il te retirera une jambe !
    
    _ Mais enfin, Gufti, tu me prends pour qui ? s’offensa Bazouk.
    
    _ Dis donc, toi, tu veux que je te rappelle tous tes ratés depuis hier matin ?
    
    Aurélie parut réfléchir un court instant encore, puis admit, à mon grand soulagement :
    
    _ Oui, tu dois avoir raison…
    
    Mais elle poursuivit, m’inquiétant de nouveau :
    
    _ Peut-être qu’il vaudrait mieux faire un essai avant.
    
    _ Un essai ? Comment ça, un essai ?
    
    _ Bazouk, viens avec moi ! fit-elle en m’ignorant et en sortant du salon.
    
    Et ce salaud la suivit. Ça l’arrangeait bien, à certains moments de me répondre qu’il prenait ses ordres que de moi ! Du coup, je leur emboîtai le pas. Aurélie conduisit Bazouk jusqu’au tas de flics qui comataient dans le jardin. Elle en désigna un qui avait déjà une longue barbe :
    
    _ Tu peux lui faire des gros seins, à celui-là ?
    
    Je soupirai ; Bazouk s’étonna un instant mais répondit prestement que c’était comme si c’était fait. Il lança un bel éclair bleuté qui frappa le policier barbu qui fut ...
    ... soudain effectivement affublé de deux gros seins, mais dans le dos. Aurélie convint néanmoins qu’au toucher, c’était parfait…
    
    Après une nouvelle tentative qui offrit à son tour au second policier barbu une belle paire de nibards cette fois-ci correctement placés, Aurélie fut convaincue que ça valait le coup d’être tenté, pour s’amuser. Je la sermonnai une dernière fois tandis qu’on rentrait dans la maison, mais elle ne voulut pas m’écouter. J’engueulai Bazouk à l’avance, le prévenant que s’il faisait une connerie, je le jetterais avec sa théière dans une mine de sel.
    
    Aurélie alla se camper debout devant le miroir de la salle de bains, puis expliqua à Bazouk qu’elle était prête. Celui-ci se prépara à lancer son maléfice.
    
    _ Attends ! Stop ! criai-je. Aurélie, tu devrais retirer ton soutif à mon avis…
    
    _ Non, non, c’est bon, t’inquiète pas, j’en ai pas. Vas-y, Bazouk, fais-moi les mêmes que Pandore !
    
    Je soupirai une fois de plus. Elle attendit en se regardant dans la glace. Il y eut un petit éclair qui partit des mains du bon docteur Bazouk et s’épancha sur la jeune femme. Son chemisier se mit soudain à se gonfler et à se tendre au niveau de la poitrine, régulièrement, jusqu’à atteindre une taille plus que respectable, qui me parut même démesurée par rapport au corps élancé d’Aurélie.
    
    Celle-ci finit par sourire et palpa un instant par-dessus son vêtement les seins dont elle avait été nantie.
    
    _ C’est… c’est lourd, dit-elle simplement.
    
    Puis elle ôta rapidement ...
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