Fleur, véto, conte florès - Histoires de Sexe

Fleur, véto, conte florès

... moi, m’a pris pour un dingue. Puis j’ai remis ça sur la table plusieurs fois et elle a fini par accepter d’entrer dans un club pour voir ce qui s’y passait.
— Et ?
— La première sortie a été compliquée. Elle n’était pas du tout à l’aise. Des hommes ont tenté leur chance, mais elle se crispait. On est restés que moins d’une heure et elle a voulu repartir. On en a reparlé après sur le chemin. Ce qui l’avait gênée, c’était qu’il y avait trop de lumière. On la voyait trop bien et elle voyait aussi trop nettement les hommes qui l’approchaient. C’était trop crû, trop réel. Elle m’a avoué qu’elle avait pensé se sentir mieux. Elle était entrée motivée. Mais cette visite l’avait refroidie. Alors je lui ai proposé d’essayer un hammam, quelque chose de plus intime, un endroit sombre, juste pour comparer.
— Elle a accepté ?
— Tout de suite, oui. On n’est même pas retournés à la maison. J’ai voulu battre le fer quand il était chaud. J’ai cherché des adresses sur mon portable, et on s’est rendus directement dans un grand hammam très fréquenté à Pau. Tu sais dans ces endroits tu quittes tes vêtements et tu mets une serviette. Après tu peux te promener dans les installations. En général, c’est mal éclairé, on ne te reconnaît que difficilement.
— Et ça a fonctionné comme tu le voulais ?
— Malheureusement, oui.
— Pourquoi malheureusement puisque c’est ce que tu voulais ?
— C’était un fantasme, oui. Mais quand elle s’est laissé toucher dans le hammam, j’ai compris qu’en réalité c’était ...

... difficile à vivre. Elle s’est laissé approcher et embrasser sous mes yeux. Et très vite elle s’est retrouvée avec plusieurs hommes autour d’elle. Je l’ai vu jouir des caresses de ces mecs, là, sous mes yeux. C’était intenable.
— Pourquoi tu n’as pas tout arrêté ?
— J’y ai pensé. Mais je n’en étais pas capable. J’étais comme pétrifié. Puis un des gars l’a prise par la main pour la sortir du hammam. Elle l’a suivi sans discuter dans une petite pièce dont ils ont fermé la porte. Il y avait une glace sans tain. J’ai tout vu. Du sexe brut, du cul de bas étage. Elle s’est fait prendre dans tous les sens par ce mec. D’autres hommes regardaient avec moi et se masturbaient devant le spectacle. Je ne voyais même plus que c’était ma femme. Je voyais une grosse salope se faire démonter, comme dans un film porno. On avait l’impression qu’il pouvait tout lui demander et qu’elle aimait ça.
— C’est ce que tu cherchais non ?
— J’ai failli vomir. Mais j’ai laissé faire. Puis quand elle est sortie de la petite pièce, un sourire énorme qui lui remontait jusqu’aux oreilles, je me voyais mal lui faire le moindre reproche. Elle m’a dit qu’elle s’était éclatée, m’a remercié 100 fois, m’a embrassé, caressé. Et puis bon, je ne vais pas te raconter tous les détails, mais nous avons fait l’amour aussitôt après devant tout le monde.
— Et bien… C’est en effet plus compliqué que ce que j’imaginais.
— En effet oui. Désolé de ne pas t’avoir tout dit. J’avais un peu honte.
— Tu peux oui. Et après ?
— ...