1. Contrôleur des wagons-lits


    Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, inconnu, nympho, grossexe, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe Auteur: Jfcorto, Source: Revebebe

    ... de ses sous-vêtements. Sa lingerie de soie blanche unie mettait en valeur son bronzage.
    
    Il s’attarda sur son bas-ventre encadré de son porte-jarretelles marquant sa taille fine, les jarretelles et les bas beiges bien tirés sur ses longues jambes. Elle faisait partie de ces filles qui, même jambes serrées, gardent un creux à la jointure de leurs cuisses, ce qui dégageait le bombé de son sexe moulé par la soie. Il s’empourpra quand il croisa son regard dans le miroir, comme un adolescent pris en faute. Mais loin de se formaliser de son indiscrétion, elle se contenta de lui sourire et reprit son maquillage sans chercher à cacher sa semi-nudité. Des fantasmes pleins la tête, il détourna malgré tout les yeux, de peur de se faire repérer par le mari, et sortit, les jambes un peu flageolantes.
    
    Il fut appelé de nouveau, après leur retour du wagon-restaurant, pour préparer les couchettes. La fille s’était changée pour aller dîner et portait une jupe moulante assez courte dévoilant très haut ses cuisses nues. Ils étaient plongés tous les deux dans leur lecture et ne lui prêtèrent pas attention. Pendant qu’il refaisait les lits, il loucha malgré lui sur ses jambes croisées et déglutit quand elle les décroisa et les garda suffisamment entrouvertes pour qu’il puisse distinguer le fin dessin de la dentelle blanche de sa nouvelle culotte et la tache plus sombre de sa toison en transparence. Elle releva les yeux et eut de nouveau un sourire un peu ambigu, quand elle s’aperçut de la ...
    ... direction de son regard. Elle lui demanda :
    
    — Pouvez-vous me réveiller à trois heures du matin, j’ai un appel à passer à l’étranger ?
    — Euh, bien Madame, pas de problème.
    
    Jamais il n’avait encore eu l’occasion de fréquenter une fille aussi classe et sexy et l’idée de devoir pénétrer de nuit dans sa cabine à sa demande le rendait de plus en plus fébrile à l’approche de l’échéance. À l’heure dite, il entra dans la cabine endormie. Couchée en chien de fusil, dos à lui, la fille avait laissé sa lampe de chevet allumée, révélant sous le drap fin la fine silhouette de son corps. Le tissu moulait le bel arrondi de ses hanches et ses fesses bien cambrées. S’approchant d’elle un peu gêné, il posa délicatement sa main sur son épaule nue pour la réveiller. Elle bougea un peu, sans pour autant sortir de son sommeil. Dans le mouvement, le drap glissa à terre, dévoilant sa nuisette de satin à fines bretelles qui s’arrêtait à mi-cuisses. L’absence de marque sous le satin semblait prouver qu’elle était nue en dessous. Il déglutit, partagé entre le désir d’aller plus loin et la peur de se faire prendre et de risquer de perdre son boulot. Mais se faire virer d’un job d’étudiant lui sembla peu de choses, comparé à la possibilité de découvrir un peu plus de cette chair tentatrice. Jetant un coup d’œil au mari qui dormait profondément, il s’enhardit et, du bout des doigts, souleva très doucement le fin tissu, suffisamment pour dévoiler en se penchant le pli sensuel de ses fesses nues au creux ...
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