Nuit sur la Tamise
Datte: 30/07/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
hdomine,
noculotte,
fsodo,
yeuxbandés,
Auteur: Elo, Source: Revebebe
... le pose et referme la porte derrière lui.
18 h 30
Bras dessus bras dessous, nous déambulons en direction d’un bar où déjà un attroupement discute fort. Nous rejoignons un groupe d’amis d’Alex qui m’accueille agréablement. Quelques bières pour Alex, des sodas pour moi, nous nous racontons notre petite vie des derniers mois, sans que je n’aborde, bien entendu, ma journée très spéciale. Plus la soirée avance, moins je pense à Lucas. Alex, son mètre soixante-quinze, son visage d’ado, son look débraillé, focalisent mon attention. Malgré le monde, nous avons réussi à nous installer au bar ; assise une fesse sur un grand tabouret et la jambe repliée sur le repose-pied, nous sommes quasiment collés l’un à l’autre et mon genou est en contact avec sa cuisse. Je n’ai pas l’impression qu’il remarque à quel point je bois ses paroles et surtout à quel point j’aimerais qu’il prenne une initiative. Nous consommons ainsi pendant plus d’une heure, tantôt tous les deux, tantôt accompagnés de ses amis. L’un deux, un certain Matthew, me fait du gringue sans qu’Alex ne tente de l’en dissuader.
Finalement, nous nous retrouvons à une table à manger des tapas tous ensemble. Mon excitation est retombée et j’en suis à regretter de ne pas être resté en compagnie de Lucas.
0 h
Nous rentrons à l’appartement où Alex me cède sa chambre et propose de s’installer dans le salon pour la nuit.
Alex : Ça n’a pas l’air d’aller, Elo ?
Moi : Si… je suis un peu fatiguée.
Alex : Bon, si ce ...
... n’est que ça… alors ça va.
Dans la chambre, je me déshabille, pliant soigneusement ma jupe, étalant mes bas sur le bras de la chaise. J’ai volontairement laissé la porte entrouverte et, à plat ventre sur le lit, je consulte mon smartphone. Pas de message, quelques mails du travail auxquels je réponds brièvement. Si Alex entrait ou regardait, il me verrait, nue, sur le ventre, les jambes à moitié ouvertes dévoilant mon intimité. Fermant les yeux, je l’imagine entrer. J’aimerais qu’il vienne derrière moi, qu’il baisse son pantalon, qu’il me tire jusqu’à lui pour me prendre brutalement.
Mais, fantasme, rien ne se passe.
Résignée, je profite de la salle de bain, enfile mon tee-shirt long de dodo et me couche.
1 h
Je ne dors toujours pas. Smartphone en main, j’envoie un message à Alex qui n’est pourtant que dans la pièce d’à côté.
Quelques secondes plus tard, Alex passe l’entrebâillement de la porte et vient se glisser sous la couette.
Moi : Je peux venir contre toi ?
N’attendant pas sa réponse, je pose ma tête sur son épaule, une jambe par-dessus lui et ma main sur sa poitrine dénudée. Ma cuisse appuyant légèrement sur son entrejambe me montre que son corps réagit plus qu’il ne le montre. Je m’enhardis, descends ma main le long de son ventre et effleure la ceinture de son caleçon.
Moi : Pourquoi tu ne m’as pas draguée ce soir ?
Alex : Elo, je ne voulais pas que tu te sentes obligée de quoi que ce soit parce que je t’ai proposé de dormir à la maison… je ...