1. Premiers plaisirs anaux (1)


    Datte: 30/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Janis, Source: Xstory

    ... que nous avions encore trop peur de la douleur que je lui causerais si je la pénétrais avec mon pénis gonflé. Quel plaisir de remplir, un spasme après l’autre, sa bouche de mon sperme !
    
    Mais ça n’était pas grand-chose encore, comparé à la première fois que je me suis laissé aller dans son anus !
    
    Cette après-midi-là j’avais joué avec son petit cul pendant près d’une heure. Elle était à point et moi j’avais mal à la queue à force de bander en vain. Finalement, elle s’était mise à quatre pattes, sur les coudes, accrochée au barreau de ma mezzanine. Elle m’avait présenté son petit anus gris et je m’étais mis à genoux derrière elle !
    
    J’avais passé au moins cinq bonnes minutes à pousser ma queue de toutes mes forces contre son trou du cul ! elle devait pousser de son côté, mais je n’arrivais à rien, à part à me faire mal au gland. Et puis finalement, avec un peu de salive, un peu de mouille, un peu de patience et d’envie… d’un coup ! mon gland avait passé la porte de son anus !
    
    J’avais vu sa bouche grimacer sur sa joue et elle avait poussé un gros soupir. Elle avait un peu mal, mais la curiosité lui donnait envie de tenir bon. Je sentais les muscles de son sphincter contre ma queue serrer, serrer.
    
    La peau entre les deux fesses avait l’air fragile mais je m’en foutais : ma bite était enfoncé dans le cul d’une femme ! enfin ! j’ai attendu quelques secondes, j’ai serré ses hanches et j’ai poussé à fond ! Elle a gémi, mes cuisses touchaient ses fesses maintenant. Je ne ...
    ... sentais plus grand-chose au niveau du gland, que la chaleur et la douceur d’une paroi que j’avais touché mais l’anus était enroulé à la base de mon pénis, comme une bague de fiançailles un peu trop petite.
    
    Je remarquais une certaine analogie entre le plaisir que j’éprouvais à la sodomiser et celui que je ressentais à me faire lécher le sexe par elle. Analogie des sensations, quand le bout de mon sexe, que rien ne venait plus toucher, percevait la température interne de son corps et le vide autour de lui, alors que sous mon gland ses lèvres refermées ou son sphincter travaillaient. Analogie érotique aussi, car l’excitation que je ressentais à voir sa bouche si belle, qui avait réussi un oral de droit le matin, qui m’avait si brillamment expliquée la nécessité de faire des réformes structurelles le soir à table, se refermer sur ma verge venait du sentiment de transgression, de la joie à commettre en toute impunité un acte violent qui plaçait ma jouissance physique au-delà du langage et de l’esprit, au-delà de la dignité humaine même. Et souvent, ce qui déclenchait chez moi l’éjaculation, ça n’était pas tant le doux plaisir que sa petite langue râpeuse procurait à mon sexe, que la vue du visage calme aux paupières à demi closes d’où il sortait ; ce qui me faisait jouir c’était parfois de voir sa main gauche rabattre une mèche derrière son oreille au moment ou sa main droite, doucement posée sur mes bourses assistait sa bouche dans son labeur.
    
    Ce sentiment d’impunité à faire ...