1. Première punition


    Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, amour, hsoumis, fdomine, vengeance, dispute, cérébral, chaussures, Oral sm, attache, fouetfesse, init, hsoumisaf, Auteur: Mieline, Source: Revebebe

    ... comme on a dit l’autre jour, cela mérite une fessée. On peut donc aussi le voir comme un geste de réconciliation. Comme c’est notre première punition, je commencerai par dix coups seulement de chaque côté et je n’utiliserai que ma main.
    
    En parlant, elle glissait doucement les doigts dans ses cheveux, passait sur ses épaules viriles, descendait le long d’un bras, remontait, redescendait le long de son buste, il frémissait. Elle aimait le spectacle de sa tête appuyée, abandonnée sur ses jambes. Elle sentait ses joues déjà brûlantes, écrasées dans son entrejambe.
    
    — Tu as le droit de me demander d’aller plus fort ou moins fort mais pas la peine de me dire « non » ou « arrête », ça ne compte pas : je continuerai. Quand je m’arrêterai, entre les coups j’aimerai que tu me dises quelque chose de gentil, comme me demander pardon, me dire si tu m’aimes, ou me remercier pour la fessée, ou pour tous les autres moments que nous partageons, tu comprends ?
    — Oui, Maîtresse, oui.
    — Tu sais, je t’aime mon amour.
    — Moi aussi Maîtresse, moi aussi, souffla-t-il d’une vois étranglée.
    
    Il y eut un silence. Soudain, le premier coup tomba.
    
    Et deux, trois, quatre, cinq. Rapides. La main, bien à plat, était tombée avec une énergie qu’elle avait voulue raisonnable, mais efficace. Il s’était crispé, avait lâché un« argh » dans lequel elle avait entendu plus de surprise et de résistance que de vraie souffrance.
    
    Sa main caressait maintenant la fesse qu’elle venait de frapper, glissait ...
    ... sur la cuisse crispée.
    
    — Je veux que tu comprennes, que tu ressentes dans ta chair, dans ton corps, que ce que tu as fait est mal et m’a fait mal à moi aussi. Tu comprends ?
    — Oui, Maîtresse. Pardon Maîtresse, pardon.
    — C’est bien bébé, mais la punition n’est pas finie.
    — Je sais Maîtresse, je sais…
    
    Un, deux, trois, quatre, cinq. Sur l’autre fesse cette fois. Et dans le silence qui s’installa après ces claquements sonores, la main cajoleuse reprit son errance, fit frémir ces quelques millimètres de douceur entre la cuisse et la fesse. Se glisser dans l’entrecuisse, caresser son périnée, serrer doucement ses couilles… mais elle lui avait attaché les jambes bien serrées l’une contre l’autre, et elle ne put aller très loin.
    
    — Tu n’as rien à me dire, bébé ?
    — Oh Maîtresse, c’est… si… c’est si bizarre…
    — Bizarre ? Ça te plait ? Dis que tu aimes !
    — Oh oui Maîtresse, oui !
    
    Elle le saisit sèchement par les cheveux et murmura :
    
    — Dis-le mieux que ça, nous ne sommes pas des animaux, alors fais un effort pour faire de vraies phrases quand je t’autorise à parler.
    — J’aime ça Maîtresse.
    — Ça ? Qu’est-ce que tu aimes ?
    — J’aime… j’aime… que vous me punissiez, j’aime votre fessée, et je vous aime vous.
    — Ah tu aimes ? Remercie-moi alors, et dis-moi que je peux frapper un peu plus fort.
    — Oh non !
    — Tatata…
    
    Elle enfonça ses ongles dans son dos.
    
    — J’ai dit : puisque tu aimes ça, remercie ta maîtresse et dis-lui qu’elle peut frapper un peu plus fort.
    — Merci ...