1. Les sombres désirs de Laura (1)


    Datte: 30/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sombresdésirs, Source: Xstory

    ... difficulté à me pénétrer. Son sexe large m’écarta et je levai les yeux au ciel tellement c’était bon. Il commença des coups de boutoirs secs et violents, ce qui m’empêcha de continuer la pipe dans de bonnes conditions. Le mec dans ma bouche s’énerva. Il m’attrapa par les cheveux et colla mon nez à son pubis. Ce traitement dura plusieurs secondes et fut répété plusieurs fois. Je suffoquai, je chouinais, je haletais et Dieu ! Que j’aimais ça !
    
    Le mec dans ma bouche se retira tout d’un coup. Continuant de me tenir par les cheveux, il plaça mon visage juste en face de sa queue et de sa main libre, se branla nerveusement. Il lâcha sur mon front et sur mes joues des flots gluants de sperme chaud. Le gars dans ma chatte grommela à son tour. Sa bite vint cogner plusieurs fois au fond de mon vagin avant que lui aussi ne se décharge. L’un après l’autre, les mecs me lâchèrent. Je vacillai et tombai, m’adossant à ma voiture. La fille à côté venait de terminer avec le sien. Le mec était déjà en train de la remercier avec des grognements de jouissance et des insultes assorties. Dès qu’il eut fini, il lâcha son emprise sur elle et elle vint s’asseoir à côté de moi.
    
    — Merci les putes, à bientôt ! dirent les mecs avant de disparaître dans la nuit.
    
    Si la fille n’avait été là, j’aurais presque cru à un beau rêve.
    
    Contrairement à moi, elle semblait encore pleine de vitalité.
    
    — Tu te sens bien ? me ...
    ... demanda-t-elle. Et tandis qu’elle me parlait, elle passait son doigt sur mon visage pour ramasser les gouttes de sperme et les mettre dans sa bouche.
    
    — Oui merci. C’était cool, répondis-je. Des amis à toi ?
    
    — Non. J’ai pas d’amis mecs. Trop de complications. Je m’appelle Sarah. Et toi ?
    
    — Laura.
    
    — Tu as l’air de savoir te débrouiller avec les gars, Laura. Faudrait qu’on se fasse des soirées toutes les deux.
    
    En temps normal, j’aurais répondu non, mais la situation semblait si surnaturelle que ma volonté vacilla. Je lui donnai mon numéro de portable en lui promettant qu’on se reverrait.
    
    Lorsqu’elle l’eut (et qu’elle eut avalé tout le sperme qui dégoulinait de mon front à mon cou), elle se redressa en me saluant amicalement et disparut à son tour. Pour ma part, il me fallut encore quelques minutes pour reprendre mes esprits, grimper dans ma voiture et rentrer chez moi.
    
    Je sentais le sperme à plein nez, ça dégoulinait d’entre mes cuisses. A mesure que je roulais, la fille BCBG en moi reprenait le dessus. Je ne me sentais plus salope : je me sentais sale. J’avais besoin d’une douche. Je rejoignis mon appartement et filai vers la salle de bain en passant par la chambre. Je restai la plus discrète possible et progressai dans le noir ; mais, passant devant le lit, j’entendis les draps bouger.
    
    — Ma chérie, c’est toi ?
    
    C’était mon copain, Jérémy.
    
    Quoi, je ne vous avais pas dit que j’avais un copain ? 
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