1. Marie-Jeanne se lâche...


    Datte: 29/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... ai découvert des jambes gainées de bas couleurs chair. Étirés sur les côtés par un porte-jarretelles de satin, couleur champagne. Dont les froufrous de dentelle encadraient ses reins comme des tutus de danseuses de ballet. L‘atmosphère dans cette salle de bains était devenue très sulfureuses. J’ai posé une main sur sa cuisse gainée, sentant la finesse du nylon. Cela m’a fait un effet incroyable de caresser enfin la mère de Viviane. Au bout d’un moment, lasse elle m’a murmuré, comme si nous n’étions pas seul :
    
    - Caresse-moi ! J’en ai très envie. Et cela depuis le depuis le thé dansant. Je ne te cache pas que je mouille pour toi.
    
    J’ai caressé ses jambes des deux mains, aussi délicatement que je le pouvais. Arrivé au niveau des cuisses, je me suis attardé à les masser. Ému par la douceur de sa peau nue au-dessus des bas. Tout en continuant à manipuler ma verge, Marie-Jeanne a donné plusieurs bises sur ma poitrine. J’en ai profité pour enfouir mes doigts dans sa culotte. Y découvrant un sexe tout juteux. Une mouille épaisse ruisselait sur ses lèvres. Plus haut, son clitoris était aussi dur que mon gland. Je me suis empressé de branler entre deux doigts. Très vite elle fut happée par un orgasme. Poussant un cri tout en crispant convulsivement ma verge entre ses doigts.
    
    Les sens attisé, je me suis soustrait de sa prise, pour m’accroupir à ses pieds. Devinant ma pensée elle a écarté ses jambes autant qu’elle le pouvait. Assez pour que j’y passe ma tête. J’ai collé mes ...
    ... lèvres contre celles de son con. L’endroit était soyeux, et chaud. J’ai entrepris de suçoter les muqueuses distendues. La première odeur qui m’est venue à mes narines ce fut celle d’urine. Marie-Jeanne a glapit à chacun de mes coups de langue. Là un râle, ici un hoquet. C’était incroyable excitant. Des cris si étranges que l’on ne s’attendait pas à entendre semblable son sortir d’une bouche d’une charmante femme. Pourtant c’était plus que réel et j’en étais le responsable, à défaut d’en être l’auteur.
    
    Sous mes lèvres, les fragrances de son intimité m’enchantaient. Je devais rêver. Ce n’était pas possible. Moi avec la mère de Viviane. Alors, je devais profiter au maximum de ce rêve.
    
    Pour cela, j’ai inséré ma langue entre ses lèvres, à la recherche du bourgeon des délices. Je l’ai dégagé de son manteau de chair. Elle a sursauté. Sa respiration s’est accélérée. Elle s’est saisie de ma tête entre ses mains, comme pour la guider sur son chemin du plaisir. Sa vulve a libéré des fluides de désir en abondance. J’ai aspiré, j’ai balayé, j’ai lapé, j’ai vrillé, j’ai suçoté, tant que je le pouvais. Elle s’est mise à gémir d’une façon animale. Une ivresse alors sale m’a submergé. Je lui ai planté mon index dans l’anus. Elle s’est arc-boutée sous l’introduction. S’est trémoussée en poussant des couinements, tandis que je branlais le trou du cul, elle a frétillé du croupion, faisant balloter ses seins dans tous les sens.
    
    Je me suis redressé, pour prendre Marie-Jeanne dans mes bras et ...