Une soirée plus que parmi d'autres - Histoires de Sexe

Une soirée plus que parmi d'autres

... lui demande. Elle a un petit côté passif, voire même est-elle peut-être quelque part une soumise. Il doit y avoir de ça, car elle obéit visiblement au désir de son mari qui aime l’offrit pour qu’elle jouisse devant lui. Néanmoins, on dirait bien que ce genre de situation lui plaît, du moins, ce soir.

Je vérifie ma théorie à son sujet :

— Prenez mon sexe en main et branlez-le doucement…
— Euh… oui…

Je m’écarte un peu pour qu’elle puisse glisser sa menue main. Même si sa réponse était hésitante, elle obéit. Elle capture ma bite avec douceur et commence à me masturber délicatement. De mon côté, mes mains ne chôment pas, pas plus que mes lèvres.

Je continue à vérifier ma théorie :

— Très bien, vous êtes douée pour la branlette, je saurai m’en souvenir. Passons à autre chose. Retournez-vous.
— Euh… oui, Romain.

Même si j’entends bien dans le son de sa voix qu’elle est étonnée, docile, elle se retourne, me présentant son dos. Je l’enlace, une main sur son ventre, l’autre capturant un sein, je me plaque contre elle, nichant ma queue le long de la fente de son sillon fessier, ma tige bien encadrée par les deux masses douces de ses fesses. Elle murmure :

— Décidément, vous êtes un gros cochon, Romain…
— Et vous une très adorable cochonne, Francine…

Nous restons ainsi un bon moment, et j’en profite pour me frotter langoureusement sur elle, tout en pelotant ses seins et câlinant son pubis, et parfois légèrement plus bas. La façon dont elle tend son bassin ...

... vers ma bite indique qu’elle apprécie cette fantaisie. Dans tous les cas, il y en a un qui est aussi ravi : son mari. Tant mieux, ça fait trois heureux sur trois, donc cent pour cent de réussite !

Après ce délicieux frotti-frotta, je décide de passer à autre chose de très différent. Je m’écarte d’elle, je lui désigne le canapé où est déjà installé son mari :

— Asseyez-vous au bord du canapé, jambes écartées, j’ai une petite récompense pour vous.
— Ah bon ?

Elle s’exécute, assise sur le rebord, cuisses largement ouvertes, m’offrant au passage une belle vue sur une fente agréablement ouverte et luisante. Je sens que je vais me régaler !

Sans complexe, je m’agenouille entre ses jambes et je plonge, tête la première, vers son petit nid odorant. Elle pousse un petit cri quand ma bouche vorace dévore ses lèvres intimes ; cri vite suivi d’un premier soupir. D’autres viennent quand je commence une exploration en bonne et due forme de ses trésors et surtout d’un clitoris que je découvre assez gros, et donc facile à débusquer puis à choyer. Mes coups de langue se révèlent très efficaces, Francine semblant être très sensible. J’accentue ma pression, je goûte sa bonne cyprine dans une débauche de bruits parfois incongrus.

Soudain, elle pose sa main sur ma tête pour mieux presser ma bouche contre sa fente dégoulinante. Elle accompagne du bassin mes coups de langue ; je virevolte, je lèche, je suce, bien décidé à faire céder le barrage qui la coupe de sa jouissance. Je ...