1. En passant chez Isabelle


    Datte: 29/07/2018, Catégories: fh, fplusag, miroir, BDSM / Fétichisme intermast, pénétratio, init, inithf, Auteur: Zen, Source: Revebebe

    ... à pleines mains, toujours collé derrière moi. Il était incroyablement doué pour me donner du plaisir en s’occupant de mes seins. Faut dire que c’est mon point sensible. Chacun de ses mouvements de reins, chaque frottement de sa tige contre mon sexe délicatement protégé par le tissu mince m’arrachaient des gémissements et rendaient le tissu plus humide. Ma main guidait le mouvement de son sexe sur moi, le caressait. J’adorais nous voir comme ça dans le miroir. J’ai tourné ma tête vers son visage pour qu’on s’embrasse, et ça a été une grosse pelle fougueuse, les langues se sont déchaînées. Je lui ai dit « Je veux ton sexe en moi. », mais était-ce bien nécessaire de le dire ?
    
    Il a fait tomber ma culotte à ses pieds. J’ai posé mes mains sur le miroir, je me suis cambrée, les jambes légèrement écartées, la croupe offerte. Son sexe est revenu se frotter contre le mien, maintenant directement en contact avec ma chatte, son gland titillant mon clito. J’étais surexcitée, et l’entrée de sa tige en moi a été une libération. J’ai crié. Lui aussi, je crois…
    
    Ça a été court, intense, presque violent. Il tenait les deux globes de mes seins dans ses mains, les caressant, en stimulant le bout, puis caressant l’ensemble ou juste le téton, le pinçant, jouant avec. Une folie…
    
    Notre plaisir est vite monté, ses mouvement s’accélérant, son sexe en moi déchaînant des vagues de plaisir en moi. Quand sa main droite ...
    ... a quitté mon sein pour venir stimuler mon petit bouton, je n’en pouvais plus : j’ai crié mon plaisir, j’ai hurlé mon orgasme, ça a été énorme, et j’ai senti sa queue se raidir et son jus couler en moi. Lui aussi a hurlé. Quelle libération ! On a chancelé sous le choc du plaisir et on est allés s’écrouler sur le lit proche.
    
    On y a passé le reste de l’après-midi. Un étonnant moment de complicité entre un jeune homme et une femme qui avait l’âge d’être sa mère, avec sourires, tendresse, caresses, rires, sexe. Beaucoup de sexe, même. On a un peu sali le lit d’Isabelle, mais je sais qu’elle ne m’en voudra pas, on est des copines si proches… Kevin était doué de ses mains, de sa bouche, de sa langue, et j’en ai bien profité. Et je lui ai donné beaucoup de ce qu’un garçon de vingt ans peut espérer d’une femme expérimentée…
    
    Quand je me suis relevée pour me rhabiller, il m’a demandé :
    
    — On se reverra ?
    — Peut-être…
    — Tu me laisses un souvenir ?
    — Un souvenir ?
    — Oui, ta culotte…
    
    Je lui ai lancé ma culotte, qu’il a tout de suite portée à son nez pour humer mon odeur intime. C‘était une culotte magnifique, si sexy, qui avait contribué à faire exploser son désir. Un beau souvenir, quoi. Je ne savais pas à ce moment-là si on allait se revoir, mais je savais déjà que cet après-midi nous avait durablement marqués lui et moi.
    
    Plus tard dans la soirée, j’ai été un peu inondée de SMS par Isabelle : 
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