1. Weekend à la montagne - Épisode 8 - Comme les inquisiteurs espagnols...


    Datte: 29/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Primaq69, Source: Hds

    Weekend à la montagne - Épisode 8 - Comme les inquisiteurs espagnols...
    
    Petite aparté : j’avoue humblement que ces récits, qui partaient pourtant d’une base réelle dans les 1ers épisodes, sont issus à 99% de mon esprit ou le masochisme non révélé côtoie le conformisme sexuel dans une danse schizophrénique quotidienne. J’apprécie donc particulièrement les retours d’expériences, les encouragements et autres expressions de satisfactions (je préciserais bien de la gente féminine en particulier mais vous vous en doutez probablement). Sur ce, je doute que vous soyez là pour lire mes mémoires donc revenons à nos moutons…
    
    J’aimerais pouvoir commencer comme d’habitude en vous disant que je ne sais pas combien de temps c’était écoulé depuis qu’on m’avait écartelé au milieu de la pièce. Mais la vérité, c’est qu’elles m’avaient orienté face à une horloge d’un mètre de diamètre. Impossible de louper la petite aiguille qui tournait lentement, si lentement…
    
    Ça faisait une bonne ½ heure que j’étais en place. Mon corps entier me faisait souffrir le martyr quand j’entendis les filles revenir en rigolant. J’essayais de me retourner pour les voir entrer dans la pièce mais je revenais vite sur l’idée : impossible de bouger sans avoir l’impression que j’allais imploser.
    
    - « Ah bin voilà il est tout sec ! »
    
    Léa s’était installée sous l’horloge, dans mon champ de vision. Elle ne portait qu’un corset mauve, de longues bottes en cuir noir qui lui arrivaient mi-cuisse et son éternel ...
    ... tresse tenue par un nœud violet. Son intimité était complètement exposée, je pouvais voir le reflet de sa mouille depuis mon perchoir… Dire que la situation l’excitait serait un euphémisme.
    
    Pauline s’installa à côté. Elle avait opté pour une mini-jupe verte, de longs gants en satin assortis, des bas ouvragés montés sur de simples escarpins et un serre taille noir mat… Le tout chapeauté par un chignon sévère tenu par un nœud vert pomme. Sa poitrine exposée me permettait de voir ses tétons pointés, témoin indiscutable de son excitation.
    
    Elles m’observaient toutes les deux avec le sourire.
    
    - « ça va, tu es bien installé ? »
    
    Je n’avais même plus la force de crier. Ma mâchoire, comme le reste, était écartelé depuis ½ heure. Je n’attendais que le moment où elles allaient me faire redescendre.
    
    - « Viens, on va jouer un peu »
    
    Moment qui n’avait pas l’air de se profiler. Je sanglotais doucement en attendant la nouvelle torture qui risquait de suivre.
    
    Les deux filles disparurent de mon champ de vision et pendant un temps, rien ne se passa. Puis, je sentis une caresse toute douce sous mes bourses. Mon périnée écartelé était complètement exposé et Pauline, armée d’une plume, jouait sur chaque mm2 de peau. Au bout de quelques seconde, la caresse devint chatouille et la situation se corsa. Mon premier réflexe fut de m’agiter mais, mon plug me tiraillant l’intérieur à chaque mouvement, je dus rapidement m’astreindre à l’immobilité. Ce qui n’étais pas une mince affaire. A la ...
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