1. Mauricette aime la quéquette.... (1)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    ... vos désirs pour la réalité. Fit-elle en tournant des talons, prête à retourner chez elle.
    
    Mais je l’attrapais brusquement par le poignet. Et portais sa main droite vers mon nez.
    
    — Putain… ça sent la moule.
    
    Immobilisée, j’en profitais pour glisser mon autre main sous sa jupe. Fourrageant avec mes doigts, sa toison humide.
    
    Des larmes dans les yeux elle me supplia :
    
    — Vous n’allez pas… pas me violer… au moins ? Fit-elle en m’attirant jusqu’à l’entrée de sa demeure dont la porte était grande ouverte.
    
    — Non… non ! Je vous interdis de rentrer chez moi. Me tirant à l’intérieur et referma la porte derrière moi.
    
    — Mais vous êtes fou… que comptez-vous me faire ?
    
    — Moi ! Mais rien… répliquais-je.
    
    — Ça vous a plu, tout à l’heure ? Demanda-t-elle.
    
    — …. Heu ! Oui beaucoup… un vrai supplice.
    
    — À oui ! Tu m’en vois ravi.
    
    — Voir et ne pas toucher.
    
    — Qu’est-ce que tu attends alors ? Touche-moi… Elle me déboutonna le pantalon. Baissa ma fermeture Éclair de ma braguette. Et fourra sa main dans mon slip. Malaxant ma verge comme elle l’avait fait plus tôt avec sa poitrine.
    
    — Tu es vraiment un horrible personnage. Me forcer à vous mettre ma main dans ton slip. Moi une honnête femme. J’espère que cela va s’arrêter là. Que tu ne vas pas me forcer à te mener jusqu’à ma chambre… Elle me saisit par la queue et me remorqua jusqu’à une pièce au fond du couloir. Comme j’avais les chevilles entravées par le pantalon c’était à petits pas que je franchis la ...
    ... chambre. Parfaitement rangée.
    
    — Non, il ne faut pas, je ne saurai pas, je n’ai jamais trompé….oh mon dieu… Non cela ne se peut pas… je suis une honnête femme, moi, c’est mal… Oh seigneur comme c’est doux. Humm… j’adore ta queue Elle me poussa sur le lit. Je me reçus sur le dos. Elle en profita de me déchausser, et dans l’ordre d’ôter mon pantalon, mon slip mes chaussettes.
    
    — Tu es content à présent. Comme tu me la dis je t’ai déshabillé comme… ! Fit-elle, les yeux exorbités par le désir. Rivés sur ma queue dure comme du bois.
    
    Elle m’enjamba et à l’aide de sa main, elle guida sa verge jusqu’à son puits d’amour. Et se laissa tomber. S’empalant dessus avec un soupir d’extase. - Putain ! Quel toupet… forcer une femme mariée de ce conduire pire qu’une prostitué… dans son lit conjugal … tu mérites la prison… oui la prison…
    
    Ses hanches se mirent à onduler de plus en plus vite. Bientôt ponctué de plaintes rauques à chaque fois que ma queue l’investissait, la possédait. Elle m’avait englouti au plus profond d’elle-même. Le rythme s’accéléra encore. J’haletais, éperdu de plaisir, tandis qu’elle gémissait, en envoyant des tonnes de :
    
    — Oui… oui… oui…
    
    Elle avait joui, mais pas moi. Et je comptais y parvenir. Mais pas par là. D’ailleurs j’avais l’impression de nager à l’intérieur. Je l’avais sorti toute poisseuse pour la guider vers l‘autre ouverture.
    
    — Mais dit-moi, que comptes-tu faire là…
    
    — Tu vas voir… tu vas aimer aussi de ce côté….
    
    — Ah oui ! Fit-elle, en se ...