1. LA BELLE SAISON 6/8


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... Tu n’imagines pas comment elle est désagréable. Par contre ça ne l’empèche pas de grimper aux rideaux quand elle se fait sauter par Chris. »
    
    « Ah oui ? » fais-je, feignant l’étonnement
    
    « Chris est chez elle presque tous les soirs, et ma collègue secrétaire, Axelle, qui habite l’appart juste à coté, me dit qu’elle l’entend hurler de plaisir, presque tous les soirs. »
    
    « Tiens donc, Qui aurait cru ça de Chris. »fais-je
    
    « Ne fais pas l’imbécile ! tu connais la réputation de Chris. Il a tringlé toutes les nanas baisables dans la station. »
    
    « Y compris toi ? »
    
    « Non, pas moi » dit elle avec une nuance de regret dans la voix « On se connaît depuis bien trop longtemps pour ça. Et puis, je suis copine avec sa femme. Je ne pourrais pas lui faire ça. »
    
    « C’est bien, mais toi, tu es avec quelqu’un ? »
    
    « Plus maintenant. »
    
    « On devrait se faire une soirée tous les deux, un de ces soirs, pour mieux se connaître. »
    
    « Je vais y penser »dit elle en se levant « Mais, ne fais pas trop de plans sur la comète. »
    
    Elle me fait un clin d’œil avant de partir.
    
    Le soir, le service se termine quand Dolores vient prendre un café sur la terrasse. Elle me fait signe et je la rejoins.
    
    « Tu fais quelque chose ce soir ? » attaque t’elle
    
    « C’est que, j’ai encore du boulot, et, »
    
    « Je n’ai pas trop le moral. »
    
    « Ecoute, je ne peux pas rester à te parler. On ne doit pas fréquenter la clientèle de trop près. C’est interdit. »
    
    « Ce n’est pas ce qui t’a géné pour ...
    ... venir dans ma chambre. »
    
    « bon, laisse moi un quart d’heure, et retrouvons nous au court de tennis. »
    
    En rentrant, je capte le regard de Jackie, qui me fait un signe entendu.
    
    Quand j’arrive au court de Tennis, je trouve Dolores qui m’attend déjà. J’ai la clé avec moi. J’ouvre et nous entrons sur le court plongé dans une semi-obscurité.
    
    « Je suis désolée »commence t’elle « mais c’est la dernière fois que nous allons nous voir. »
    
    Elle se blottit contre moi, et mes mains partent à l’aventure sur sa robe légère. Très vite je sens qu’elle en porte rien dessous.
    
    « Mais non, pourquoi dis tu ça ? »
    
    « Il ne me reste que quelques jours de cure » dit elle entre deux baisers « Mon mari a décidé de me rejoindre pour passer ces jours ici avant de me ramener à la maison. »
    
    Les bretelles de sa robe sont descendues et je dégage ses deux seins que je malmène une peu. Elle a ouvert ma chemise et ses mains me caressent le torse, avant de descendre plus bas et de s’insinuer dans mon pantalon. Sa main agile contourne l’obstacle du slip et libère mon sexe qu’elle flatte doucement. Elle s’agenouille alors devant moi et entreprend de dégraffer mon pantalon qui glisse le long de mes jambes, bientôt suivi de mon slip. Elle embouche mon sceptre qui commence à devenir bien rigide et le pompe avec talent tout en me soupesant les bourses. Pris par le désir qui monte en moi, je saisis sa tête et la fais coulisser sur ma bite qu’elle absorbe jusqu’à la garde malgré quelques haut-le ...
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