Mr 2 sur 20 - Histoires de Sexe

Mr 2 sur 20

... nous avions décidé d’y passer un moment agréable s’il en fût. Petites caipirinhas bien chargée en entrée, qui produisirent un tel effet que je commençai à être complètement bourré. Vint le moment du repas où une idée complètement saugrenue me vint à l’esprit que je communiquai immédiatement à ma partenaire. Je lui demandais sans ambages, d’aller aux toilettes, de retirer sa culotte, et de me la donner quand elle reviendrait. Cette demande, tant de fois faite par d’autres, fut pour la première fois de sa vie, acceptée ce jour-là. Elle se leva, dans sa robe noir moulante, et je la vis s’éloigner et enfin disparaître. Cette attente dura une éternité, et rares furent les fois dans ma vie où je me suis senti aussi excité qu’à ce moment-là. Elle en revint, et j’observais ses mains. Elle n’avait manifestement pas la culotte en question. Je compris immédiatement où elle était. Elle vint vers moi, tout sourire, ce sourire si beau qu’il peut vous désarmer, vous dénuder, vous faire oublier votre condition humaine. Toujours en me regardant et en s’asseyant, elle regarda autour d’elle, pour vérifier que le terrain était libre, attrapa sa culotte cachée dans son décolleté et me la tendit. Un rare moment de plaisir pur ! La soirée continua tout à fait classiquement et nous partîmes vers minuit et demi, alors que la musique latino résonnait en contrebas. Je réglai, et notre serveur attitré me souhaita une bonne soirée. Je lui répondis qu’elle serait bonne, en lui exhibant mon trophée de la ...

... soirée.

Arrivés chez moi, nous nous sautâmes dessus. Elle se mit à prononcer des paroles très crues, et de mon côté super excité comme jamais et à 2,2 grammes, je ne savais pas très bien comment j’allais m’en sortir.

Je l’allongeai sur le canapé, remontai sa robe noire, caressait ses jambes gainées de bas très épais, et commençais à l’embrasser. Mes yeux découvrirent une toison rousse fort poilue et très odorante. Je me plaçai entre ses cuisses, tout en continuant à l’embrasser et je descendis rapidement vers sa conque d’amour. Je lui léchais très délicatement les grandes lèvres, et elle marqua un soubresaut quand ma langue se posa. Elle poussa des gémissements et se mit à dire:

— Oui, c’est bon, encore ta langue chaude, oui, encore…

Elle avait un goût exquis, une odeur incroyable et poussait des gémissements des plus excitants. Après cinq minutes de ce traitement, je me levai et lui demandai de me sucer. Elle s’exécuta, remarqua la bosse énorme déformant mon pantalon. Elle sortit mon sexe de bonne taille, en fut quelque peu surprise et… contente, commença à me branler, tout en me regardant de temps en temps droit dans les yeux. Elle avait manifestement compris comment sucer une queue.

Nous montâmes à l’étage et nous jetâmes sur le lit. Elle se déshabilla, je sortis d’un tiroir une capote de marqueHa… bien connue. Quelle erreur ! Je savais que ce type de capote ne m’allait pas du tout. Trop petite, pas assez lubrifiée, d’où un inconfort assez important pendant ...