Anne-Sophie
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
campagne,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Auteur: Journaliste, Source: Revebebe
... main remonte donc sur ma cuisse… Enlève la tienne, Julien, si tu veux entendre la suite… Il joue avec les lanières qui attachent le bas de mon bikini… Monsieur, épargnez la pudeur d’une vraie jeune fille ! Ne mentez-vous pas, Anne-Sophie ? Pas le moins du monde, Monsieur ! Mais qu’à cela ne tienne, il est avec le ciel des accommodements, je sais être très doux et ne porterai nulle atteinte à ta précieuse virginité. J’ai du mal à vous croire, Monsieur, vous me paraissez si… viril ! Tu as remarqué, Julien, que désormais il s’autorise à me tutoyer.
Il bande en effet comme un taureau, sous son slip de bain… Ah ! toi aussi ? Tiens donc ! Mais ne sois pas si impatient ! Le meilleur de l’amour c’est quand on monte les escaliers, disait Clémenceau. Je me lève et je disparais. Julien, tu insistes et je vais perdre le fil si je m’interromps maintenant, le fil et aussi la tête, attends un peu, je te prie… Oui, moi aussi, bien que je sois une vieille femme… Tu es gentil, Julien. Je reprends. J’ôte mon bikini et je baguenaude nue dans le studio. Je me caresse un peu les seins, et le reste… Il faut que le type croie que j’ai envie de lui. Ce n’est d’ailleurs pas faux, au demeurant, car il a de quoi satisfaire pleinement une femme en manque d’amour… Oui, toi aussi, Julien, je le vois bien… Mais laisse-moi continuer mon récit.
Il m’a semblé de bonne politique de faire languir le bonhomme, tout en persistant à le tenter grâce à la caméra. Le lendemain mardi je ne lui rends pas visite. ...
... Je me promène dans la bourgade. J’en profite pour interroger quelques commerçants, le plus discrètement possible. L’homme vit seul, mais reçoit quelques visites de temps à autre. Je ne suis guère plus avancée.
Arrive le mercredi. Canicule dès le matin. Je suis nue dans le studio. Mais je m’habille pour déjeuner. Il n’y a que deux restaurants dans le bourg, je vais tantôt dans l’un, tantôt dans l’autre. On ne m’y donne aucun renseignement sérieux sur le bonhomme. L’après-midi, bain de soleil sur la pelouse. Une haie l’abrite de tout regard indiscret. Couchée sur le ventre, je dénoue le haut de mon bikini. Le bonhomme vient me rejoindre, en slip de bain comme l’avant-veille, il s’allonge à côté de moi, et s’alarme : je n’ai pas mis de crème antisolaire, je vais attraper un coup de soleil ! Il en a apporté un tube. Veux-tu, Anne-Sophie, que j’en étale un peu sur ton dos divin, après la courbe des épaules ? Vous connaissez donc Rimbaud, Monsieur ? En effet.
Et lui de se mettre à oindre mon dos divin, et mes jambes, et mes cuisses, alouette… Grand merci, Monsieur. Mais quelque temps après je renoue les attaches de mon haut de bikini et me retourne. En ce temps-là la mode des seins nus était encore à inventer. L’homme s’autorise à appliquer sa crème… antisolaire, je te rappelle, ne va pas penser à autre chose dès maintenant – sur mes cuisses, mon ventre, enfin toutes les parcelles de mon précieux corps que ne recouvre pas le petit bikini. Je ne te cacherai pas que son index se ...