1. Quatre mois de loyer


    Datte: 28/07/2018, Catégories: fh, fplusag, grosseins, fdomine, entreseins, Oral extraconj, Auteur: Alexis, Source: Revebebe

    ... fourmillement qui naît dans sa prostate et au cœur de ses bourses, s’amplifie, grandit, puis quitte ses organes sexuels pour se propager à toute vitesse vers l’extrémité de son sexe tendu. Je décuple sa jouissance en branlant vigoureusement la base de son gland. Une première contraction, et son sperme jaillit. Toute la tension sexuelle accumulée est relâchée pendant quelques secondes d’éjaculation. Son corps est pris de convulsion, sa respiration est erratique. De sa gorge, il hurle son plaisir sans aucune retenue ni pudeur, criant plusieurs fois mon nom, il se lâche complètement, ne contrôle plus rien, s’abandonne. De puissants coups de bassin accompagnent ses giclées de sperme successives. Tandis qu’il succombe à son orgasme, je dirige sa semence sur ma poitrine, adoucissant ma masturbation à mesure que son jus se tarit. Une fois vidé, il reste affalé, sans force ni volonté, le regard vide et fixé au plafond.
    
    L’incroyable décharge de plaisir le laisse complètement assommé, voire abruti. Je m’assure qu’il ne reprenne pas trop vite ses esprits en continuant à stimuler sa queue qui rétrécit doucement. Je caresse mes seins et récupère l’abondante quantité de sperme pour en lubrifier le sexe de mon proprio. Bien qu’après l’éjaculation celui-ci soit sensible, une douce masturbation est des plus agréables.
    
    — Rose, c’était trop bon, je n’ai jamais joui aussi fort.
    
    Je souris. Après ce genre de traitement, de trois choses l’une. Un homme ne peut pas mentir, il est niais, et ...
    ... surtout on en fait ce qu’on en veut. J’avais envie de répondre : je le sais, je t’ai fait grimper aux rideaux et je t’ai fait crier comme la dernière des salopes. Maintenant que j’ai extrait mon loyer de tes bourses à la force de mon poignet, il est temps que tu barres, j’ai autre chose à foutre.
    
    — Oh, tes mains… tu es si douée avec tes mains, lâche-t-il.
    
    Je sais ça gros malin…
    
    — Hmmm, tu as bien giclé mon cochon. J’ai pris beaucoup de plaisir à le faire, tu sais ? mentis-je en attrapant un mouchoir pour le nettoyer rapidement.
    — C’est vrai ? C’est tellement bon je ne sais pas comment décrire, c’est…
    
    « Ne dis rien », pensai-je.« Ça t’a coûté 3000 €. Le mot que tu cherches, c’est cher ! »
    
    — … on peut se revoir ? acheva-t-il.
    — Mais bien sûr, mon chéri, on se revoit dans quatre mois de toute façon. D’ici là, essaie de ne pas m’appeler car j’aurai beaucoup de boulot, Ok ? Tu peux te rhabiller, je t’ai nettoyé.
    
    Je me redressai, nouai ma robe puis allai chercher mon téléphone dans la chambre. Après une telle séance, il allait essayer de s’accrocher et de rester. Je simulai donc un appel et parlai haut et fort en portugais et revins dans le salon. Je passai devant lui en lui lâchant un sourire rapide, tout en continuant ma conversation imaginaire, atteignis l’entrée et ouvris la porte : le message étant on ne peut plus clair.
    
    L’éjaculation l’avait de toute façon laissé sans volonté. Il comprit cependant que le rapport de force était inversé, que je le tenais ...
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