Dressé par ma nièce 5 - Histoires de Sexe

Dressé par ma nièce 5

... frénétique et caresse.

Ma nièce se place a genoux devant moi, la bouche ouverte en coupe, les œufs vibrants sont mis en mode grande vitesse et Sonia me lèche le cul.

Je sens parfaitement l’effet des vibration sur ma prostate, cela se répand en moi comme une onde de plaisir et de chaleur. Et dans un râle de plaisir et d’extase j’explose tel une bête, ma petite nouille tendu et fière comme un soldat balance ses puissantes giclées sur la langue de ma nièce.

Je râle !, je jure comme un chartier !, et épuisée, je me laisse pendre par mes bras le temps de retrouver la force de mes jambes. Complètement vidé par mes déesses je suis aux anges.

Elles se congratulent, se caressent, je crois qu’elles sont toujours excitées par mon état d’homme objet a petite bite. Sonia demande a ma nièce si elle va le faire, celle ci hoche la tète. Allons bon, encore une perversion ? je viens juste de jouir et plutôt épuisé, mais çà va, elle me retire le plug et les œufs. J’ai eu tord de m’en faire.... ou pas.

Un peu de vaseline enduit mon anus, ses doigts me pénétrant avec plus de souplesse car je commence a être bien détendus par leurs en-godages a répétition.

- Tu te rappel une de mes premières promesses tonton ?

- Heu.. je sais plus tu m’as dis tant de chose

- Hummm !!

- Rappel toi , je t’avais promis de te fister le cul

- Ho !

Étrange, je me sens soudainement excité a l’idée de me faire fouiller les tripes.

Dépucelé de ce coté la depuis seulement quatre jours, ...

... me voila déjà avec un sacré challenge, mais de toute façon, il semble que je n’ai pas le choix.

Ses fins doigts tartine ma rosette, je sens la vaseline fondre et devenir un jus qui s’écoule lentement sur mes cuisses. Sonia caresse mes couilles flétries par mon éjaculation, ses caresses semble me faire du bien, elle reprennent formes. Je cherche constamment mon équilibre, toujours suspendus par les bras sur la pointe des pieds, très inconfortable mais très stimulant.

Sonia se retourne, se place en levrette sur le lit devant moi, m’offrant une vue imprenable sur sa minette qui se fait labourer par ses doigts, son regard par dessus son épaule me regardant, ou plutôt ma nièce.. en fait j’en sais rien.

Je commence a gémir de la douleur de la dilatation. A chaque fois que je couine, elle ralentit et prend le temps de me dilater, puis reprends, rajoute de la vaseline, quatre doigts déjà, et mon cul tremble de spasme en lâchant des bruits obscènes.

Un vas et viens incessant me fait entendre des « floc-ploc-sploc » j’ai honte, c’est bon, je rebande, ma queue me brule de tant de sévices.

Elles m’use jusqu’au bout, me repousse mes limite, je les adore.

Son pouce se loge entre ses doigts en poire, elle pousse, et me fore le fion.

Ma respiration, ainsi que les battements de mon cœur s’accélère, mes pieds quittant parfois le sol pour me balancer en m’accrochant aux cordes.

Une douleur plus forte, mais aussi un désir qui m’envahit, et soudain... sa main en moi.

Je ...