1. Souvenir érotique d'une veille d'été


    Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, jeunes, parking, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nostalgie, portrait, amiamour, prememois, Auteur: Flesh, Source: Revebebe

    ... ! Non, au contraire ! J’ai trop chaud là. Ouvre-la en grand, plutôt !
    — Hein ? Bon, comme tu voudras. Quelle soirée ! lui dis-je en m’exécutant.
    — Hum, oui, c’est sûr, on a fait fort, là. Je crois que je vais me coucher, moi, me dit-elle en s’étirant.
    
    Elle se lève assez péniblement, et toujours en tenue légère, je la vois se diriger vers la salle de bain, cette fois sans du tout prendre garde à fermer la porte. C’est pourtant son habitude au cas où une brusque et indélicate envie me prendrait. Heureusement, ou hélas peut-être plutôt, la salle de bain ne donne pas sur la chambre-cuisine-salle à manger, mais sur un bête couloir qui s’éloigne vers la porte du studio. Ainsi, même la porte ouverte, je ne peux la voir dans son intimité que si je montre que telles sont mes intentions. Or, mes intentions sont chevaleresques, que je le veuille ou non !
    
    Pendant qu’elle se douche, je tente néanmoins de lutter contre mes envies de la rejoindre.
    
    Et voilà ce qu’il advient alors !
    
    Un pas d’une jambe nue et galbée de rêves mouille l’entrée de la chambre, suivi de celui d’une autre jambe tout aussi nue et belle. Au-dessus de ses membres animés d’une beauté divine, un bassin tout aussi nu et féminin. Il entoure d’une manière ostentatoire un sexe, celui de Sève. Elle l’exhibe fièrement en arborant un corps triomphant. C’est pourtant très vite sur sa poitrine que mes yeux se polarisent. Elle est certes la plus jolie au monde, ...
    ... je m’en rappelle bien pour avoir depuis si souvent vu ses seins. Je suis bien incapable de formuler ce que je ressens alors. Comme vous le voyez, je suis incapable de transcrire une telle beauté. Sève est toute nue, telle sa consœur Ève du jardin d’Éden. Littéralement, avec une toute petite voix et une sorte de honte ou de gêne lui détournant à moitié la tête, elle m’offre en ces termes son corps. Je suis bouche bée !
    
    — Si tu veux me prendre, fais-le s’il te plait. Je sais que tu en as envie. Moi aussi, comme toi, je suis en manque. Je veux sentir un homme en moi ce soir ! S’il te plait !
    
    Habillé de beaucoup de vêtements, je lui fais face. Elle est nue comme surgissant d’un fantasme, et elle me regarde d’un air de défi. Pas un homme sur cent mille ressentant ce que je ressens n’hésiterait un instant devant ce qu’il convient de faire alors. Moi, si. Alors elle se couche sur le canapé troué, les jambes et le reste vers moi, comme livrée à son bourreau sur un autel sacrificiel. Elle ferme ses yeux profonds, espérant la saillie rituelle. Elle semble en ce moment de pulsion étrange presque nymphomane.
    
    Je hurle« Vos gueules ! » à une partie des voix qui hurlent des conseils torrides dans ma tête. Je saisis doucement une couverture pour cacher tous les trésors de ma belle. Puis, je lui dis, avec un doux murmure de fée :
    
    — Voilà, Sève. Tu auras plus chaud comme ça. Dors, mon ange. Maintenant, je veille sur ton sommeil. 
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