1. L'amour dans les fourrés 13


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... truie. Mon clito n'est jamais assez grand, ma mouille jamais assez abondante ! Heureusement Julien n'est pas avare de sperme, allons voir si tu t'en délecteras avec autant d'engouement.
    
    - Je connais aujourd'hui un bouleversement dans mes façons d'appréhender les relations sexuelles. Je veux prendre les moyens d'aboutir. J'ai besoin de toi pour conforter mes résolutions de m'ouvrir aux pratiques amoureuses courantes. Oui, je veux le sucer convenablement et lui prouver de la sorte mon entière soumission.
    
    - C'est parfait. Telle que je te connais, tu ne mettras pas longtemps à assimiler mes consignes. Mais Julien rentre du travail; il a certainement transpiré. Aussi ardente soit ton envie d'apprendre, pour ne pas te rebuter dès le départ sa verge, comme tout son corps, réclame une douche qui évacuera les odeurs les plus fortes accumulées dans la journée. montons à la douche.
    
    - Une douche, toute nue, aujourd'hui. Mes pertes de sang vont l'effrayer.
    
    - Voilà tes vieux démons qui reviennent! Alors, tu veux ou tu ne veux pas?
    
    - Tu porteras la responsabilité de son dégoût; montons.
    
    Dans la salle de bain, Cécile invite sa maîtresse à me dévêtir. Nathalie se montre active et finit par se retrouver face à une érection de bon aloi, prometteuse. Le sourire malicieux de Cécile me satisfait. La cabine de douche est limite, mais nous parvenons à y introduire nos trois corps nus. Chaque geste, chaque déplacement me met en contact avec la petite ou la grande, chaque ...
    ... frôlement envoie des frissons. Comment empêcher ma verge de toucher un ventre ou une paire de fesses ?
    
    Comment dans ces conditions débander ? Le phénomène ne surprend plus la trop prude Nathalie qui finit même par rire aux éclats chaque fois que sous la pluie mon membre va émouvoir ses sens ou se glisser la dans sa raie, ailleurs contre sa fente. Quand l'eau de la douche se teinte de rose dans le bac, Cécile attire discrètement mon regard et désigne la preuve des menstrues. A force de temps nos peaux se familiarisent. Cécile sournoisement entretient mon état d'une main ou d'un coup de croupe quand ce n'est pas en se frottant ouvertement à moi, seins pointés, ventre projeté vers ma partie sensible. Mon dard aussitôt se redresse. Je bande dur.
    
    Nous voici de retour au salon pour la leçon de fellation. Cécile étale ses connaissances, montre comment prendre une bite en main, comment dégager le gland du prépuce d'un souple mouvement de poignet? Nathalie doit l'imiter, passe de la timidité à l'audace. Au stade suivant elle sait passer la pointe de sa langue sur le méat à l'extrémité du "noeud" puis autour du bourrelet qui couronne mon appendice et enfin sous le frein si réactif. Cécile déguste tout le gland avant que Nathalie ne l'enfourne à son tour. Je résiste aux pulsions qui projetteraient mon sperme dans son gosier. Je n'oublie pas que Cécile et moi nous unirons à la fin de la démonstration. L'une est bonne pédagogue, l'autre se révèle élève douée. Je suis pacha dans un ...