1. Sylviane, pute à en devenir. (4)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... jolie poitrine qu’elle dissimule sous une chemise noire.
    
    — Il y a toujours les "glory-hole" à l’étage ?
    
    — Oui, pour vous ou madame ?
    
    — Ma pute, lui répondis-je en lui faisant un sourire, sourire qu’elle me retourne.
    
    — Oui, mais ça a récemment évolué. Chaque client doit louer un film pour le visionner dans une cabine. Evidemment vous recevez la moitié de cette "location".
    
    — Bien et c’est toujours à l’étage?
    
    — Oui, oui, en haut à droite, les cabines sont à gauche. Des clients sont déjà là. Ils visionnent depuis dix minutes… Je les préviens de votre arrivée.
    
    — Très bien, nous montons. Et prévenez les futurs clients de la présence de ma pute.
    
    Elle me remet un paquet d’essuie-tout.
    
    On monte un petit escalier en bois et l’éclairage blafard rouge nous accueille. Je pousse la porte battante suivie de ma pute. Elle entre et écarquille les yeux. Cinq trous et deux bites prêtes à l’emploi.
    
    — fous-toi à poil ! Tu sais ce qu’il te reste à faire. On reste ici jusqu’à midi. Allez !!!
    
    Timidement elle me tend veste, chemisier et jupe. Je lui dis d’enlever ses talons. Elle est nue, enfin presque, il ne lui reste que ses bas.
    
    Les deux sexes sont de petite taille. Elle s’agenouille. Je lui dis de se maintenir debout, d’écarter ses jambes et de se pencher. Quelle est belle ainsi positionnée, jambes largement ouvertes et ses lourdes mamelles pendantes. Elle est bandante.
    
    Elle a bien compris ce que j’attends d’elle. Elle se saisit de la plus petite des ...
    ... deux bites et commence a la sucer en gorge profonde. Elle penche la tête et me sourit. La salope, elle aime ! Ou fait elle cela pour me plaire ? Le mec devait être gonflé à bloc car au bout de deux minutes, il part dans un grognement à peine audible. Elle me montre le fruit de sa récolte et déglutie.
    
    Le second est plus gros, plus long, qu’à cela ne tienne, elle l’enfourne. Au début, elle peine à le prendre à fond. Elle bave, elle hoquette mais elle veut me faire plaisir, elle enlève ses mains et y va à fond. Son front bute sur la paroi. Elle ferme les yeux. Des larmes coulent sur ses joues. Je bande pour cette nana, j’ai envie de la prendre comme une chienne, elle est à bonne hauteur mais non, je me réserve pour ce soir.
    
    Elle astique cette sucette comme une enfant, alternant les gorges profondes et les coups de langue savamment placés. Elle mouille cette grosse cochonne. Dans un sursaut il lâche tout. Il râle. Le premier jet atterrit sur ses cheveux, les suivants au fond de son gosier.
    
    Comme précédemment, elle ouvre la bouche et avale.
    
    — C’est bien… Rhabille-toi, on reviendra…
    
    — Oui Maître mais je ne peux pas sortir avec cette trace de jus dans mes cheveux?
    
    Je lui donne le rouleau d’essuie-tout. Elle me regarde avec un regard amusé. Je me sauve car l’envie de l’embrasser me submerge. (Ça ne va pas mon grand, tu pars en couille).
    
    Je retrouve Kathy. Elle est déçue et me dit de venir le vendredi ou le samedi, c’est plus vivant. On éclate de rire.
    
    Ensuite ...