Mamie Louise 08
Datte: 26/07/2018,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: Fulvia41, Source: xHamster
... sur les images. Son visage ovale aux pommettes hautes et saillantes prouvait une lointaine filiation asiatique. Mais, ce qui frappait dans ce visage parfait était ce regard perçant qui vous traversait. Sous des sourcils roux joliment arrondis, Muriel possédait des yeux légèrement effilés, aux pupilles vertes, qui lorsqu’elles vous fixaient, semblaient lire en vous. Son fard à paupières, vert tendre, rendait son regard encore plus mystérieux. Un petit nez droit, parfait, surmontait une bouche aux lèvres longues et charnues colorées par un rouge à lèvres rose foncé, rendait le visage extrêmement sensuel.
« Une bouche à faire des pipes », comme aimait à dire Maurice.
Mais pour Jérémy, il n’y avait pas que le visage de la mystérieuse visiteuse qui le fascinait. Il avait vite remarqué les deux proéminences qui déformaient le débardeur blanc, dont la femme était vêtue. Bien que n’ayant pas encore la connaissance du corps féminin, l’adolescent s’était rapidement rendu compte que par rapport à sa grand-mère, les seins de Muriel semblaient plus pointus et placés plus haut : deux véritables obus dirigés en direction de son visage. Cette découverte agit sur Jérémy ainsi que l’aurait fait un aimant !... Son regard demeura fixer sur ces appas mammaires à l’apparence si ferme.
Muriel possédait une poitrine, certes plus menue que celle de son épouse, mais tellement plus aguichante. Maurice, en connaisseur, était plus attiré par la taille étonnamment fine de leur visiteuse. Il ...
... aurait presque pu en faire le tour de ses deux mains. Une légère jupe blanche, également, en rapport avec son débardeur sans manches, ceignait les hanches qu’elle avait agréablement évasées de Muriel. S’arrêtant à quelques centimètres au-dessus des genoux, la jupe dévoilait une paire de jambes tout en muscles, le mollet parfaitement dessiné. Des jambes de danseuses étoiles, songea Maurice. Le peu que l’on discernait des cuisses les laissait deviner longues, fermes et musclées ; des cuisses capables de maintenir un corps d’homme entre elles.
Lorsqu’elle se courbait pour ranger les cagettes de fromages, Muriel offrait aux regards de Maurice ainsi qu’à ceux de Jérémy, un petit derrière bien rond ; un derrière que Maurice aurait aimé empaumer des deux mains.
Lors des chargements dans la camionnette, il arrivait que les bras de Muriel et de Jérémy se frôlent. L’adolescent ressentait alors comme un courant le parcourir. Et comme cela se produisit plusieurs fois de suite, Jérémy en vint à se demander si la si sensuelle rousse n’y faisait pas exprès, s’amusant à l’exciter.
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* *
Au bout d’une demi-heure de va-et-vient, la camionnette fut chargée de fromages aux senteurs appétissantes.
— He bien, voilà qui est fait, s’exprima Louise. Tes Bretons pourront se régaler !
— En effet, renchérit Muriel. Je vous remercie pour l’aide… Si j’avais un commis comme ton petit-fils pour la journée, cela m’arrangerait bien.
— Comment cela, s’étonna Louise ?... Ton mari ne peut pas ...