De muscles et d'ébène
Datte: 26/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
couleurs,
extracon,
grossexe,
sport,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
Auteur: Stéphanue, Source: Revebebe
... mes fesses moulées dans mon jogging. Mon string est tellement fin qu’il doit se demander si je porte quelque chose en dessous. Je m’accroupis devant le sac d’Olivier à la recherche de sa trousse de pharmacie. Mon jogging est si serré et bas à la taille que je sais que Kéli ne peut plus avoir de doutes sur ma lingerie. Le papillon dessiné par la dentelle bleue de ma culotte doit s’être envolé de sa cage de coton, capturant le regard du bel africain. Je me retourne rapidement et lui demande innocemment :
— Tu n’es pas allergique aux anti-inflammatoires, au moins ?
Gagné : je suis sûre qu’il matait ma culotte, le cochon. Il tourne rapidement la tête dans la direction opposée et bafouille :
— Euh… non… je crois pas…
Je parie que, s’il n’était pas black, il aurait rougi à ce moment-là. La fameuse boîte à pharmacie en main, je me mets à genoux aux pieds de Kéli. Je suis très affairée à répartir les affaires sur le sol, mais je sens son regard posé sur moi. La veste du jogging est ouverte sur un petit top moulant parfaitement ma poitrine que j’aie plutôt fière et ferme (90C). Mes tétons dressés par l’excitation ne laissent certainement aucun doute à Kéli sur le fait que je ne porte pas de soutien-gorge. Ma position me permet de serrer les bras, ce qui a pour effet de comprimer ma poitrine et d’augmenter encore mon décolleté. Je tourne mon visage vers le haut et croise le regard de Kéli. Encore pris la main dans le sac ! D’ailleurs, quel homme résisterait à la vision ...
... d’une belle plante à genoux à ses pieds, soumise et accessible ? Un simple coup d’œil au short de Kéli me permet de voir que je ne me trompe pas : ce garçon n’est pas de bois…
Je lui prends délicatement le pied et lui retire lentement ses chaussures et chaussettes sans lui faire mal. Sa cheville a en effet déjà bien gonflé. Je prends une noix de gel et commence à lui masser doucement les chevilles. J’admire ses muscles qui roulent sous mes mouvements. Je sens une puissance incroyable dans ce jeune garçon. Mon excitation monte encore d’un cran. J’ai chaud et je me sens mouiller. Je voudrais déjà avoir son gland dans ma bouche. Je lui parle tendrement pendant que je le masse, lui expliquant les blessures que j’ai déjà rencontrées, mais aucun de nous deux n’est vraiment intéressé par cette discussion, concentrés que nous sommes sur ce point de contact sensuel. Ma respiration s’accélère. Je déroule avec précision la bande de tissu autour de sa cheville ; il est comme hypnotisé par mes gestes, par mes paroles et par ce qu’il voit.
En fait, je suis émue par ce post-adolescent candide. Je suis venue en conquérante pour un passage en force comme avec Torsten mais, maintenant qu’il est à mes pieds, c’est moi qui fonds. Je me redresse lentement vers son doux visage, mes yeux plongés dans les siens. Ma main gauche remonte de sa cuisse le long de son torse, jusqu’à son cou. Comme dans un film au ralenti, je ferme les yeux et l’embrasse. Il semble d’abord surpris, immobile, ne sachant ...