Nadine 05
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bydan57, Source: Literotica
... qui arrivait à son esclave. Elle abandonna immédiatement ses gros plans de la bite du chien entrant et sortant du cul de Juanita pour se consacrer à filmer la montée inexorable du plaisir sur son visage. Juanita chercha d'abord à se calmer mais elle se mit à tendre son cul aux coups de boutoir de son mâle. Ses halètements se transformèrent progressivement en gémissements puis carrément en cris de plaisir. Dans son délire, elle hurlait à Warrior de s'enfoncer plus vite, plus loin, plus fort. La jouissance la frappa au moment où le chien projetait son sperme dans son cul. Elle fut totale et si dévastatrice que Juanita s'évanouit.
Lorsqu'elle reprit connaissance, Warrior était encore fiché en elle. Elle dut attendre quelques minutes encore pour que le gland dégonflé glisse enfin de son anneau avec un bruit visqueux. Carmen lui sonda du doigt le vagin. Elle le sortit luisant de mouille.
- Eh bien, tu as vraiment pris ton pied comme une chienne. Tu as tellement mouillé qu'on pourrait t'enfoncer une bite de cheval! Il faudra que tu recommences!
Carmen reprit du doigt les traces de sperme du chien qui coulaient de son anus et la força à l'avaler puis à sucer le doigt jusqu'à ce qu'il soit parfaitement propre. Elle n'eut pas besoin de jouer de la cravache pour obtenir sa soumission. A la fin de la deuxième semaine, elle jouait toute la journée avec le chien et celui-ci la montait deux ou trois fois par jour sans qu'elle ne manifeste plus aucune répugnance. Il n'était plus ...
... nécessaire de la faire jouir par des caresses. Son mâle lui suffisait. Il utilisait de lui même indifféremment ses deux trous. Lorsqu'il visitait son anus, elle faisait très attention à contracter son sphincter en rythme pour le traire soigneusement. Elle essayait même de le faire, quoique avec encore moins de succès, avec les muscles intimes de son vagin. Elle se rendait pourtant compte qu'elle en prenait, progressivement, un contrôle conscient. Bien sur, Carmen ne put s'en apercevoir mais Jean, à son retour, le remarqua immédiatement, en profita longuement et la félicita pour cette nouvelle possibilité qu'elle lui offrait.
Elle fut très déçue de voir partir Warrior que Carmen, plus soucieuse encore de la déstabiliser que de l'avilir, insista pour ramener chez elle. Elle aurait voulu continuer à profiter de sa fougue, mais, de toutes façons, le chien était épuisé : il mit près de trois mois à se remettre du traitement que lui avait infligé Nadine.
Pendant quelques jours, Jean la laissa se reposer, la faisant dormir comme d'habitude sur le tapis au pied de son lit, attachée à un pied par une laisse courte, poignets et chevilles menottés, bâillonnée par une boule de tennis enfoncée dans sa bouche et maintenue par un lien de cuir, mais sans la toucher. Depuis longtemps, elle n'avait plus été sevrée de sexe. Elle commença à avoir des picotements dans le vagin.
Un soir, Carmen passa à la maison. Juanita dut servir son mari et sa maîtresse à table, vêtue en tout et pour ...