1. Cervicale attraction


    Datte: 25/07/2018, Catégories: f, h, fh, couple, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, nopéné, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... voulais, avec une nette préférence pour une rencontre dans le silence absolu. Et dans l’obscurité.
    
    Elle voulait éviter toute comparaison entre celle d’aujourd’hui et celle qu’elle avait été. Elle voulait surtout nous laisser le temps de nous redécouvrir du bout des doigts, peau contre peau. Sexe contre sexe ? Pas spécifié. À improviser sur le moment, supposé-je.
    
    D’elle, j’avais encore quelques souvenirs très précis au creux des mains. Ses petits seins têtus. Une taille fine et souple. Et surtout, sa nuque. La première chose que j’avais vue d’elle. Une perfection faite nuque. Un régal de légèreté.
    
    Elle se trouvait devant moi lors de la visite d’une exposition de photographies. Une amie très chère y présentait ses œuvres. Tout en faisant semblant d’admirer les photos, que je connaissais déjà, je m’abandonnai à la contemplation de cette délicate sculpture vivante.
    
    A-t-elle senti mon envie d’avancer la main, de toucher cette merveille ? Était-elle coutumière du fait ? Elle s’est retournée et m’a souri. Ça m’a fait l’effet d’une trappe s’ouvrant sous mes pieds. Je suis tombé, raide dingue d’elle.
    
    Elle me fit languir juste ce qu’il fallait pour me tenir bien en mains avant de s’abandonner à mes caresses. Chaque fois que j’approchais mes doigts, elle se dérobait. J’ai fantasmé, obnubilé, supplié du regard, mais elle a tenu bon, ajoutant plusieurs semaines de chasteté à notre calendrier amoureux.
    
    Puis un jour, sans explication ni raison particulière, elle choisit ...
    ... de s’allonger sur le ventre pour me laisser toute liberté de m’emparer d’elle.
    
    J’ai commencé par enfouir mon visage dans son cou. Les sens bousculés, j’ai osé un baiser timide dans le creux qui mène à l’épaule. Elle a laissé échapper un long soupir. J’ai poursuivi sur ma lancée, d’effleurement en effleurement, centimètre par centimètre, jusqu’au duvet de cheveux fous qui marque la naissance de sa crinière de jais.
    
    Lentement, comme pour ne pas sortir complètement d’un rêve, elle s’est retournée, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, humide. Après un bref instant d’hésitation, elle s’est emparée de mes lèvres, avidement.
    
    Puis elle s’est laissée tomber sur l’oreiller, en gémissant qu’elle était incapable de résister à cette caresse, que je prenais des risques insensés à continuer de la sorte, qu’elle était déjà moite de désir, qu’il fallait que je cesse, immédiatement, sous peine de…
    
    Je ne lui ai pas laissé finir sa phrase. Quelques baisers de plus, le long de son cou, puis juste sous l’oreille, ont suffi pour qu’elle serre soudain violemment ses cuisses sur la main que j’avais entre-temps enfouie entre ses jambes.
    
    Un râle de bien-être souligna l’intensité de sa jouissance. Je tenais sous mes lèvres le secret de ses dérobades. Elle m’abandonna depuis cet instant l’exclusivité de cette zone érogène, son homme s’avérant incapable de satisfaire un besoin aussi impérieux que légitime.
    
    D’autres choses vinrent s’ajouter à cette expérience, qui firent de cette femme ...
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