1. La mère de ma copine Elodie (3)


    Datte: 25/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... assurance qui me déstabilisait, car moi j’avais la pétoche que l’on se fasse surprendre.
    
    Ma maîtresse faisait attention à ne pas me faire éjaculer, elle faisait juste monter la sauce; mais suffisamment pour que cela ne parte pas. Pendant quelques instants elle s’est trémoussée sur sa chaise puis m’a donné sa culotte qui était trempée à sentir. J’ai honte mais j’étais à deux doigts de me jeter sur sa culotte tellement j’adorais la respirer, je me suis retenu mais j’ai quand même réussi à me retrouver à la sentir, à la humer, à la savourer; il n’y a pas à dire Geneviève savait dans quel état me mettaient ses odeurs intimes. Il y a un truc qui m’excitait aussi énormément de sa part, c’est quand elle se mettait les doigts dans le minou pour me les donner à sucer. Ma cougar commençait à me connaître parfaitement et surtout il savait comment m’exciter en deux secondes. À la fin du repas bien évidemment c’est ma maîtresse qui a payé; mais elle m’a dit que je ne m’inquiète pas car elle passait ça en note de frais. Quand nous sommes partis rechercher la voiture, cette dernière était garée dans un coin sombre; Geneviève s’est assise sur le coffre et j’ai eu le droit à:
    
    — Viens me bouffer ma friandise ma cochonne.
    
    — Je n’en reviens pas comment tu es obéissante, comment tu es soumise.
    
    Le fait qu’elle parle de moi au féminin avait un côté qui m’excitait, même si c’était un peu rabaissant. Ma maîtresse avait toujours de très beaux vêtements que de la marque en l’occurrence ...
    ... aujourd’hui c’était une très longue robe douce. C’est avec grand plaisir que je me suis plongé entre ses jambes, complètement dissimulé sous sa robe; et que je me suis retrouvée nez à nez avec sa friandise, comme elle m’a dit. Elle n’avait pas de culotte car cette dernière était dans ma poche et encore une fois en train d’imprégner mon pantalon de son odeur intime. J’ai commencé à lui lécher le haut des cuisses qui était plein de jus de minou puis je me suis attardé sur son petit abricot qui suintait de désir. Quelques secondes après je sentais ses mains venir saisir ma tête pour la plaquer contre son petit Berlingo. Désormais je n’avais plus le choix je devais aller jusqu’au bout mais c’était un plaisir que de brouter Geneviève. Pendant qu’elle soupirait de plus en plus fort elle me traitait de tous les noms, j’adorais le traitement qu’elle m’infligeait.
    
    Son clito était toujours aussi sensible, et je prenais grand plaisir à aller aussi m’attarder sur son petit trou intime. Puis je l’ai sentie se contracter encore plus fort, me plaquer le visage contre sa friandise; et finalement elle a pris son pied. Elle m’a gardé encore cinq minutes sous sa robe; le temps qu’elle reprenne ses esprits, mais il ne fallait plus que je me serve de ma langue, c’était trop sensible. Après comme si de rien n’était, nous sommes partis nous promener dans Chartres et contrairement à la fois précédente il y avait des éclairages sur les monuments et c’était vraiment un plaisir pour les yeux. Cela me ...
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