Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 1 - Embauche
Datte: 25/07/2018,
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Auteur: Zwico, Source: Revebebe
... je n’en mettais pas à la maison. Lorsque j’ai compris que maman n’en mettait jamais, j’ai naturellement fait pareil et elle m’a laissé faire.
— Tu n’as jamais mis de soutien-gorge ?
— Pour quoi faire, tu as vu ma poitrine ? Je n’ai pratiquement pas de seins. Je pratique la natation depuis l’âge de 6 ans et le karaté depuis que j’ai 12 ans. J’ai développé mes muscles plutôt que ma poitrine.
— C’est donc pour ça…
— Et puis aussi un peu d’hérédité, je pense. Si ma mère avait des gros seins, je pense que j’en aurais aussi. Mais je préfère être comme je suis, c’est plus pratique pour le sport. En plus, au karaté, je ne mets pas de soutien-gorge sous mon kimono, je n’en n’ai pas besoin, et cela déconcentre mes adversaires.
— Tu ne mets pas de culotte non plus ?
— Bien sûr que non. Ce n’est pas comme pour la natation. Là, je suis bien obligée de mettre un maillot de bain, qu’est-ce que c’est pénible, surtout que je n’en mets pas le reste du temps. Quel bonheur de faire du naturisme, tu en as déjà fait ?
— Non.
— Tu vas voir, c’est super.
— Tu penses que je vais en faire ?
— Avec mes parents, c’est certain.
— Bon.
Pour terminer, Audrey sort une serviette du placard. Plutôt que de me la donner, elle préfère m’essuyer elle-même. Ses mains parcourent langoureusement mon corps. Pour finir, n’y tenant plus, elle laisse tomber la serviette et me caresse les seins, les pétrissant tendrement avant de se mettre à me sucer les tétons tout en se masturbant d’une main. Elle ...
... quitte alors la salle de bains, me laissant reprendre lentement mes esprits.
Quelques minutes ont passé durant lesquelles mon esprit enfiévré a fait le point sur les événements sensuels de ces dernières heures. Calmée, je quitte alors la salle de bains, nue. C’est alors que je croise ma patronne, toujours vêtue de son tailleur. J’en suis surprise et gênée, j’essaye même maladroitement de masquer mon intimité au moyen de mes mains, mais sans succès. Elle prend alors la parole tout en me souriant.
— Ne t’en fais pas, nous aussi, nous allons nus à la salle de bains.
Puis elle contemple mon pubis dorénavant tout lisse.
— Je vois que tu t’épiles, c’est très bien.
— En fait, c’est votre fille qui m’a dit de le faire.
— Elle a bien fait. C’est mieux ainsi.
Je retourne jusqu’à ma chambre, espérant quand même ne pas croiser mon patron en cours de route. L’heure du repas approche, je ne veux pas être en retard. L’avantage avec ma tenue minimaliste, c’est que je peux m’habiller rapidement. Le temps de boutonner mon chemiser, enfiler la jupe et nouer mon tablier et je suis prête. Une minute plus tard, je redescends au rez-de-chaussée. L’air entre sous ma jupe et caresse mon dorénavant sexe tout nu tandis que le tissu de mon chemisier transparent ne cesse de me caresser les seins. Toutes ces stimulations font effrontément pointer mes tétons, je suis certaine que cela se remarque à dix mètres et cela m’embarrasse quelque peu.
Mon patron ne tarde pas à arriver, il a tombé la ...