1. La petite femelle (6)


    Datte: 24/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: De Bréville, Source: Xstory

    ... salaud !
    
    Je m’installe à un mètre devant ses yeux et dégrafe ma jupe qui tombe d’un coup sur mes chevilles. Après l’avoir enjambée et expédiée un peu plus loin du bout de mon escarpin, j’écarte largement les pieds et me cambre. Je ne porte plus qu’un string blanc très léger et mon porte-jarretelles dont les lanières pendent le long des cuisses.
    
    — Tu peux toucher si tu veux, mais seulement pendant trente secondes.
    
    Ces mots à peine prononcés, je commence à compter à voix haute. 1, 2, 3... Subjugué par le spectacle, il ne réagit qu’avec un peu de retard et envoie les mains sur mes fesses presque nues. Elles sont douces et tièdes comme l’est l’intérieur de mes cuisses. Le compte à voix haute s’est interrompu et il croit avoir le temps de profiter tout de suite du corps qui lui est généreusement offert. Mais à peine a-t-il pu caresser un peu mon sexe à travers le tissu humidifié, que je reprends subitement : 27, 28, 29, 30 !
    
    — Stop ! J’ai dit 30 secondes ! On passe à la suite !
    
    J’entreprends d’enlever mon slip. De chaque côté de mes hanches, je passe un pouce entre le tissu et ma peau, puis je tire lentement vers le bas. Quand mes fesses sont entièrement nues, je stoppe mon mouvement et reste ainsi, le buste légèrement penché en avant, donnant en offrande deux belles fesses bien rondes et une moule lisse surmontée d’un ticket de métro couvert d’une belle toison de poils noirs.
    
    — La vue est déjà plus belle ainsi ! Mais je suis sûre que tu voudrais pouvoir ...
    ... scruter certains détails du paysage qui sont encore un peu masqués...
    
    J’ébauche un mouvement pour défaire le nœud qui retient mon string sur la cuisse gauche. La ficelle, tirée avec une infinie lenteur, semble incroyablement longue. Et puis, d’un coup le nœud lâche ! Le scénario se répète alors du côté droit mais ce coup-ci, lorsque le nœud finit par céder, le string tombe entre mes pieds. Immédiatement, ceux-ci s’écartent un peu plus. Je place mes mains sur mes rondeurs et écarte délicatement, offrant complètement à la vue la peau un peu plus brune de ma raie, mais sans déformer la rondelle plissée de mon cul.
    
    — Enlève ton pantalon et ton slip ! Peut-être pourras-tu explorer le trou que tu regardes, mais d’abord, je te veux dans mon sexe.
    
    II reste debout devant moi, figé, timide.
    
    — N’aie pas peur surtout... Tu n’as jamais fait l’amour, c’est ça ?... Tu verras, les filles, c’est pas si inquiétant... et c’est drôlement bon !
    
    Je frémis en devinant l’émoi du garçon. Plus d’arrogance, de la douceur et nous allons grimper au huitième ciel.
    
    Il a les tempes qui tambourinent. Un afflux de sang lui chauffe la cervelle. Il ne sait pas ce qu’il faut faire et ne fait rien. Immobile. J’enlève sa chemise. J’avance une main, caresse tendrement son épaule pour descendre sur sa poitrine. Je reste sur les muscles. C’est dur comme de la pierre mais recouvert d’un petit duvet. Je sens le cœur qui s’affole sous l’émotion. Des battements qui s’accélèrent. C’est un plaisir rare que de ...