Mon régulier (2)
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: LangueDeVelour, Source: Hds
... je n’en peux plus. Tu m’as achevé la, lui avouai-je.
-A cet endroit, tout du moins, susurra-t-il. Retourne toi, à quatre pattes.
Alors que je prenais position, l’anxiété monta. Malgré mon excitation, je ne savais pas si je pourrais soutenir ses assauts. La dernière fois, cela avait été juste et j’avais eu le derrière douloureux pendant plusieurs jours. Vu qu’il avait l’air très chaud, je doutais de sa douceur d’exécution. A ma grande surprise, il retira en douceur le jouet de mon cul. Je sentis son gland se présenter à ma porte et la passer sans difficulté. Avec toute la salive qui dégoulinait de sa bite, nul besoin de lubrifiant. La torture qu'il m'avait infligé avait porté ses fruits. De plus je me sentais tout groggy. Il entama de lents va-et-viens sans chercher à s’insérer plus. Sentant mon appétit sexuel sur le point d’exploser, je gémis et vins à sa rencontre mais il me tint à distance, recommençant son petit manège. Je feulais à présent comme une chatte tant je voulais qu’il me prenne. Chaque fois que je l’incitais à s’enfoncer d’avantage, il se reculais.
-Je ne comprend pas. Tu ne veux pas ? le demandai-je.
-Je ne sais pas. Demande moi. Dis moi ce que tu veux, me répondit-il, malicieux.
-Vas-y, lui dis-je.
-Non. Supplie-moi.
-Je t’en prie, prend moi, implorai-je.
-Une salope ne parle pas comme ça. Demande moi comme une chienne, exigea-t-il.
Malgré la honte, mon envie était trop forte. Prenant mon courage à deux mains, je me ...
... lançai.
-Baise moi le cul. Défonce moi à fond.
En entendant cela, Michael me prit au mot. D’un coup de rein, il plongea au plus profond de mes entrailles, dilatant mon trou comme jamais. Malgré la surprise et la douleur, je ressentis un immense plaisir, un sentiment d’ivresse, j’avais l’impression d’être empli par ce gros sexe.
Ses mains écartèrent mon cul et sa queue me pilonna violement. Ses hanches claquaient contre mes fesses. J’étais comme fou : je gémissais, je couinais, m’agrippant au canapé pour ne pas tomber.
-Tu aimes ? me demanda-t-il dans un souffle.
-Oui ! plus fort !
-Dis moi ce que tu es pour moi.
-Je suis ta pute ! Encule moi comme une salope ! le suppliai-je
Il ressortit sa queue, admirant mon œillet béant, luisant de salive et de ma mouille. Puis il s’enfonça jusqu’aux couilles. Et encore. Et ce jusqu’à ce que je lui cris de me baiser. Mon amant reprit alors ses assauts brutaux, fessant mon cul en cadence. Je me pâmais sous ses coups, le corps tremblant de plaisir, au bord de l’orgasme. Et soudain, la vague que je sentais monter me submergea,faisant vaciller mon esprit. Mon sperme jaillit puissamment tandis que je m’effondrais. Michael se retira délicatement, laissant mon derrière douloureux mais tellement vide.
-Je n’ai pas joui depuis plusieurs jours. Il est hors de question que je ne profite pas du spectacle de t’éjaculer sur le visage, me dit-il. Viens nettoyer ma queue.
Je me glissai à ses pieds et pris son sexe tendu entre mes lèvres. Que ...