1. Un employé aigri


    Datte: 23/07/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail complexe, vengeance, pénétratio, amourcach, Auteur: Petit Bouquet, Source: Revebebe

    Je m’appelle Jean Lemineur, j’ai quarante-trois ans, et je suis un lâche.
    
    Cela fait maintenant seize ans que je travaille dans cette société cotée en Bourse. Cela fait maintenant seize ans que je suis brimé par tous ces salopards du premier étage. Et ce ne sont pas les hommes qui sont les moins sympas. Les femmes qui travaillent là sont de vraies salopes ! Non, non, je ne suis pas parano. Ce ne sont que des sales pppuppp… putes.
    
    Alors je me venge, en silence… Cela m’arrive de plus en plus souvent.
    
    Je quitte tous les jours mon bureau à dix-sept heures. Dans le parking souterrain, vide à cette heure-là, je me masturbe énergiquement, et je récolte mon sperme dans un petit gobelet que je cache derrière des tuyaux. Lorsque le gobelet est plein, je barbouille la voiture d’une de ces sales vicieuses. Mais, mais, mais, non, non, non ! Rien de visible. Moi aussi je peux être vicieux. J’étale ma semence sur les roues. Je gagne ensuite ma voiture, l’air de rien, et j’attends à l’extérieur que la gonzesse quitte le bureau.
    
    Ça, c’est mon petit plaisir personnel de fin de semaine.
    
    Et je ris intérieurement. C’est un peu comme si je lui chiais dans la gueule !
    
    Et ça me fait un bien fou.
    
    — o0°0o—
    
    Ce vendredi, c’est au tour de Catherine Lenoir. Ça fait longtemps que j’ai envie de la punir à ma manière. Cette salope se fait appeler « Madame Lenoir ». Elle fait partie du service Financier de l’entreprise et occupe une bonne place, alors qu’elle a tout juste trente ...
    ... ans. Madame Lenoir ne travaille que les après-midi depuis un peu plus d’un an.
    
    C’est une brune d’à peu près un mètre soixante-dix qui dégage une froideur sans nom. J’ai essayé, à plusieurs reprises, de lui dire bonjour en souriant légèrement, mais elle m’a toujours ignoré. Constamment habillée d’un tailleur strict – gris foncé, noir ou bleu nuit – avec une jupe longue, elle porte souvent des chaussures à talons. Ses cheveux, très lisses, sont en permanence attachés très haut en queue de cheval. Lorsqu’elle circule dans les bureaux, elle regarde droit devant, donnant l’impression d’ignorer tout ce qui se passe autour d’elle. Elle n’est pas franchement belle, non, mais il se dégage d’elle un petit je-ne-sais-quoi de mignon. Elle n’est ni maigre ni grosse. Et ses yeux ! Ses yeux sont magnifiques, bleu-vert, très clairs. Tellement beaux qu’on a juste envie de plonger dedans. Si ce n’est qu’il est impossible de croiser son regard. On ne peut dès lors que fantasmer sur cette chienne.
    
    La voiture de Madame Lenoir est uneMini cabriolet vert bouteille – très british – dont je viens de barbouiller les roues arrière. Je l’attends à quelques kilomètres du bureau, dans une avenue assez fréquentée. Je sais où elle habite et qu’elle passera forcément par ici. Je patiente donc, pendant quasi deux heures.
    
    La voilà.
    
    Merde, elle roule vite cette grognasse, et elle se faufile facilement entre les autres bagnoles. Je la perds de vue plusieurs fois sur le trajet. J’ai bien fait de me ...
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