Une fenêtre sur la ville
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
Masturbation
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: ptitaureau, Source: xHamster
... plus mes désirs, mes envies, mais pas encore assez. Mes copines ? On va abréger en disant qu’elles n’ont pas été pas nombreuses, et pas satisfaisantes de ce côté. Alors je poursuivais mes travaux manuels à un rythme soutenu. En été, je n’étais pas gêné par une fenêtre qui restait ouverte pendant mon plaisir, je savais ne pas être assez bruyant pour me faire entendre bien loin. Sauf une fois, j’ai entendu distinctement une voisine glousser avec une autre fille à la fenêtre voisine de la mienne juste après mon orgasme, mais je n’ai jamais vue la demoiselle en question, pas plus qu’elle ne m’a vu non plus. Et ça ne m’a pas empêché de continuer à profiter d’une ventilation naturelle pendant mes plaisirs solitaires.
Il m’arrivait de me lever du lit pour aller chercher de quoi me soulager sans laisser des traces partout, ou carrément d’aller dans la salle de bain pour éjaculer dans la douche ou le lavabo. Je ne me préoccupais pas de ce qui se passait dehors, à l’exception du voisin d’en face. Sa fenêtre était directement en face de la mienne, à une cinquantaine de mètres, mais tout de même, on se voyait. Son appartement devait constituer une partie de la largeur du bâtiment. La longueur était dans le prolongement. Nos deux bâtiments formaient un T. On s’en branle ? Bah non, pour faire comprendre ce que j’ai vu, je suis obligé d’expliquer un minimum l’urbanisme local. Mon bâtiment formait donc la barre supérieure du T, le bâtiment en face de chez moi, la barre inférieure. En ...
... bas de cet immeuble, une petite place qui en faisait la longueur, et de l’autre côté, un autre bâtiment. Je ne pouvais donc pas voir les fenêtres de la longueur du bâtiment en face de chez moi. Mais toutes celles de l’autre, de trois quart sur ma gauche lorsque j’étais à ma fenêtre, elles, étaient parfaitement visibles. Mais ça ne m’a jamais inquiété. La distance était quand même importante.
Ce jour là, je ne sais pas à quoi j’ai bien pu penser. Au cul, évidemment. J’y pensais tellement que la question ne se pose pas vraiment. Mais quel était l’objet de mon fantasme, sur quoi mon imagination avait-elle pu s’arrêter pour faire dresser mon sexe, et accompagner ma main, je n’en sais plus rien. Mais ce qui est sûr, c’est que ça s’est prolongé un certain temps. Comme souvent. La liberté des études, les horaires accommodants à ce stade de mon cursus, tout ça me permettait de me soulager plusieurs fois dans la journée selon les périodes, ou le plus souvent, de m’adonner au plaisir solitaire pendant longtemps. Très longtemps. J’ai toujours aimé me faire approcher de la limite, m’y maintenir un peu, laisser mon plaisir s’éloigner, et prendre mon temps pour le rappeler. Et plus je le faisais, plus mon orgasme était intense, et mon éjaculation en était plus violente. Je confesse qu’il m’est arrivé de m’arroser joyeusement non seulement le torse, mais aussi jusque dans les cheveux. Et accessoirement, sur mon traversin. Ça m’embêtait plus. Alors j’essayais d’éviter de repeindre mon ...