1. Découverte de la bisexualité avec ma coloc' - 1


    Datte: 23/07/2018, Catégories: ff, hh, fbi, copains, Oral init, Auteur: Amélucie, Source: Revebebe

    ... où je suis rentrée seule de boîte alors qu’elle était en train d’allumer un quelconque garçon (et plus probablement en train de lui faire passer la nuit la plus magique de sa vie). Lorsqu’elle me parle des garçons avec qui elle a couché, je n’obtiens quasiment jamais de prénom mais plutôt un chiffre, accompagné de commentaires sur la taille de leur sexe et sur leurs performances. Ces discussions ont tendance à me faire rougir, mais je continue à les écouter car cela m’excite malgré moi et j’admire sa témérité.
    
    Je savais de sa propre bouche qu’elle avait déjà eu des relations avec plusieurs garçons en même temps mais jamais, jusqu’à un fameux soir, je n’avais pensé qu’elle avait déjà couché avec une fille. Il faut avouer qu’en tant que colocataire, elle n’a jamais tenté de me draguer. J’ai découvert que c’était le cas un dimanche soir où je croyais être seule à l’appartement. Je venais de faire une longue sieste en tee-shirt et sous-vêtements et, en voulant m’habiller, je me rendis compte que Lucie m’avait emprunté mon haut préféré. Comme il y avait de grandes chances pour que celui-ci soit dans sa chambre, je suis allée le récupérer, sans frapper à la porte.
    
    Alors que je venais d’ouvrir la porte, je me suis figée net, incapable de bouger ni de détourner le regard de ce que je voyais. Sur le lit était allongée sur le dos une fille noire, nue, avec de gros seins et une toison fournie, les mains attachées au sommet du lit par une ceinture de peignoir, un sextoy enfoui ...
    ... dans son intimité, avec au-dessus de son visage ma colocataire, nue également, en train de se faire lécher jusqu’à l’orgasme. Lucie était en train de saisir la tête de sa partenaire avec ses mains pour ramener la langue de celle-ci au plus profond de son sexe alors qu’elle lâchait un puissant cri de jouissance.
    
    Complètement rouge, les joues plus chaudes que jamais (on aurait pu y faire cuire un œuf dessus sans aucun souci), j’ai refermé la porte rapidement et ai battu en retraite vers ma chambre. Dans ma précipitation, je crois que ma sortie a été moins discrète que mon entrée dans la chambre. J’ai ouvert la fenêtre pour prendre l’air, je crois que j’en avais besoin. Je suis restée ainsi un bon moment, incapable de penser à autre chose que ce que je venais de voir. Le cri de jouissance de Lucie continuait à résonner dans mes oreilles ; je ne l’avais jamais entendue jouir aussi fort (et, pour habiter dans la chambre connexe, je peux vous dire que je l’ai déjà entendue jouir, que ce soit avec des garçons ou avec des sextoys).
    
    Mes pensées ont été interrompues par quelques coups à ma porte. J’ai machinalement répondu « oui », et ma porte s’est ouverte, laissant apparaître Lucie habillée d’un peignoir blanc, les cheveux remis à leur place mais encore humides de transpiration. Elle s’est adressée à moi, avec un ton un peu inquiet :
    
    — Ça va, Mél’ (le petit nom affectueux qu’elle aime me donner).
    — Je… Désolée d’être entrée dans ta chambre, répondis-je, les yeux baissés.
    — ...
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