1. Hélène 1.2 Lingerie


    Datte: 23/07/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, essayage, douche, amour, BDSM / Fétichisme Oral fdanus, init, Auteur: Bruno, le conteur, Source: Revebebe

    ... drap qui me cache, le laisse tomber. Puis je monte l’escalier en faisant rouler mon cul. J’entends un sifflement d’admiration qui me fait éclater de rire.
    
    J’étais en train de revêtir mon ensemble rouge, quand il me rejoint dans la chambre.
    
    — Chéri, peux-tu m’aider pour mon serre-taille ?
    — Tourne-toi.
    
    Il met un genou sur le parquet, et agrafe les six fixations. Je me retourne, ma fourrure intime à hauteur de son visage.
    
    — Chéri, veux-tu que je m’épile ?
    — Non, tu n’es pas trop touffue, c’est très doux à caresser ou à embrasser. Garde-la comme ça, ou quelque chose comme le maillot ou le ticket de métro.
    — Mais épilée, c’est plus propre.
    — Pour être propre, il suffit de se laver, c’est une façon de se respecter et de respecter l’autre.
    
    Je m’assois pour enfiler mes bas à couture, il se place derrière moi et empaume mes seins.
    
    — Tu as beaucoup de culottes de bonnes sœurs comme celle d’hier.
    — Oui, quelques-unes.
    — Il est onze heures, on a le temps de régler ça. Quand tu es habillée, on y va.
    
    J’étais en petite tenue, et en porte-jarretelles.
    
    — Laisse-moi passer une robe.
    
    Il me regarde du haut en bas.
    
    — Ça vaudrait mieux, sinon, il va y avoir des émeutes.
    
    J’enfile une robe beige, aux genoux, à larges plis. Son tissu suit l’ondulation de mes hanches quand je marche avec des talons. C’est aussi un choix tactique. Elle est assez longue pour cacher que je suis en porte-jarretelles.
    
    Mais je peux aussi dévoiler la lisière de mes bas et la peau ...
    ... de mes cuisses si je la fais tourner, comme pour un essayage, ou quand je m’assois en voiture ou quand j’en sors.
    
    Pierre me conduit chez un magasin de lingerie, à Nogent, dont il connaissait depuis longtemps la propriétaire. Mais je passe la plume à mon coquin pour la suite de cette nouvelle. Je la reprendrai plus tard pour vous conter ce que Pierre n’a pas vu.
    
    — Pierre, tu es venu avec Madame ! s’écrie Odile.
    
    Et elle me colle une bise sur la joue droite.
    
    — Hélène, permettez que je vous embrasse.
    
    Sans attendre, elle lui claque deux baisers en aller-retour sur chaque joue.
    
    Odile est grande et longiligne. Un visage triangulaire, des yeux clairs et des cils interminables. Hélène parcourt le magasin du regard, clair spacieux, des tiroirs partout.
    
    Odile la sort de sa rêverie.
    
    — Que désirez-vous, Hélène ?
    — Euh, oui ! Pierre s’il te plaît.
    — Odile, pouvez-vous nous présenter quelques parures ?
    — Avec serre-taille, reprend Odile.
    — Oui, j’aimerais beaucoup, répond Hélène.
    — Ma chérie, je vais vous présenter quelques modèles. On va cramer la carte bleue de Monsieur. Quelle est votre taille de bonnet ?
    
    Odile virevolte de tiroir en tiroir et accumule les soutiens-gorge sur la table au milieu du magasin.
    
    — Hélène, on fait une première sélection.
    — Celui-là, celui-ci et encore celui-là et celui-ci.
    — Vous voulez commencer par lequel ?
    — Le motif floral.
    — Quelle est votre taille pour le porte-jarretelle ?
    — Quarante-huit, répond Hélène.
    — Non, un ...
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