Hélène 1.2 Lingerie
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
essayage,
douche,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
init,
Auteur: Bruno, le conteur, Source: Revebebe
... dressing, et revient m’assaillir.
Il m’allonge doucement, puis embrasse doucement mon mont de Vénus et entreprend de dévorer le minou, pénétrant ma fente de sa langue, mâchouillant mes lèvres, léchant mon clitoris.
Arrivée à la limite de l’explosion, il me retourne sur le ventre, remonte le kimono et dévoile mon cul, puis il écarte mes fesses et pose un baiser sur mon anus. Il dépose un peu de salive sur mon cratère et passe plusieurs fois sa langue râpeuse dessus. Puis il entreprend de forcer cette ouverture. Mon sphincter cède avec plaisir et il en profite pour introduire sa langue.
Mon anus stimulé par cette caresse, je commence à roucouler sous cette pénétration délicate. Puis il entreprend de manger mon œillet, je sens ses dents mordiller mon muscle anal. Il se redresse pour contempler son œuvre. Excité par ces caresses, mon œil de bronze ne se referme pas complètement.
— Chéri, s’il te plaît, encore.
Jamais on ne m’avait prodigué cette caresse si intime et si douce.
Pierre replonge dans mon cratère, il m’encule avec sa langue, tournant fouillant, explorant chaque recoin de mon rectum. Je me cambre pour faciliter cette feuille de rose. Puis j’ouvre mes fesses à deux mains pour mieux m’offrir à cet envahissement. Du côté face, sa main agace mon bourgeon.
Sous ces deux assauts conjugués, j’ondule du cul, avec des gémissements entrecoupés de petits cris, et des « encore, mon chéri », « bouffe-moi, mon amour ». Lorsque la tension est au maximum, il me ...
... pince le clitoris et m’envoie dans un orgasme intense.
Quand je redescends sur terre, nous sommes emboîtés l’un dans l’autre, en petite cuillère. Je me cale, dos à lui, emboîtant mon cul dans son ventre et posant d’autorité sa main sur mon sein. Puis doucement, nous sombrons dans le sommeil.
Quand je me réveille, Pierre a quitté notre lit. Sa maison est beaucoup plus silencieuse que mon appartement. Je tends l’oreille, et j’entends quelques bruits au rez-de-chaussée. Je me lève, et chausse mes mules. Je descends silencieusement l’escalier, vêtue de mes formes et de ma seule nudité.
Pierre s’active dans la cuisine et range notre vaisselle de la veille dans la machine. Il ne porte que son boxer, et une chemise non boutonnée. Je me colle à son dos par surprise.
— Tu es réveillée, ma chérie.
— Oui, et très bien réveillée, mon amour.
Et je lui remonte sa chemise pour qu’il sente les pointes de mes seins érigées contre son dos. J’ondule contre son dos, stimulant mes tétons contre sa peau. Débarrassé de sa chemise, je fais glisser son slip. Puis je m’emballe comme une jument folle.
D’une main je m’empare de ses couilles et de l’autre j’empoigne sa belle verge. Je me plaque contre lui, et je l’embrasse dans le cou, et lui fais un suçon. Ma main s’agite sur son beau membre, qui se raidit. C’est bon, il est à point. Je le retourne, le coince contre le mur de la cuisine. Je lui chuchote en délirant :
— Tu es à moi, mon pervers chéri. Tu vas y passer, à la casserole. ...