L'initiation de Béatrice - Histoires de Sexe

L'initiation de Béatrice

... discrètement un peu d’ordre dans mon boxer, mon sexe me fait maintenant un peu mal, et toute cette érection me lance un peu dans les bourses. C’est décidé, sitôt de retour chez moi, je lui en mets virtuellement plein la poitrine. En m’asseyant au niveau de ses jambes, je m’assure :

— Bon, seulement sur l’arrière des jambes, devant c’est pas la peine ?
— Non, non. Mais juste un peu hein, parce que j’ai déjà bronzé, donc pas besoin d’en mettre de trop.
— Ok.
— Mais insiste bien sur mes fesses, par contre, tu vois, je les expose seulement quand les enfants ne sont pas là, elles sont encore bien blanches…
— Je vois ça, oui.
— Ha, ha, coquin va…

J’ai décidément du mal à me faire à cette situation. Je commence par le bas des jambes, avec l’intention de finir par le meilleur… Et elle enchaîne :

— Tu sais, à la fac, on était une bande de copines, je peux te dire qu’on s’amusait bien…
— Une bande de ?
— De copines, qu’est-ce que t’as compris ? m’interroge-t-elle avec un sourire.
— Rien, rien…
— De cochonnes ? C’est ça ?

De plus en plus amusée,

— Mouais…
— Bah bravo… Mais c’est un peu ça, oui, on était une belle bande de cochonnes… Et j’étais pas la dernière, je peux te le dire !
— Hin hin…
— Ça te choque ?
— Non, non…
— Bon, ceci dit, je ne suis pas forcément un exemple à suivre.

La tournure que prend la conversation m’excite de plus en plus, et je me demande où cela va pouvoir nous mener.

— J’ai même fait des trucs dont je ne suis pas ...

... particulièrement fière aujourd’hui…
— Ah bon ? Quoi par exemple ?
— Bof, des trucs un peu… Tiens, par exemple, avec les filles, on tenait un compte du nombre de centimètres qu’on avait pris…
— Comment ça ?
— Ben… En évaluant la longueur de la bite de chaque mec et en additionnant… Tu vois le tableau ? On avait des règles précises hein ! Peu importe le nombre de rapports avec chaque mec ; c’était un mec, une longueur.
— Je vois…
— Bon, je n’ai pas été souvent en tête, mais j’étais dans la course…
— Ah ouais, effectivement, c’est pas banal…
— À ton âge, j’en étais à… Tu as quel âge exactement ?
— Je viens d’avoir vingt ans.
— Vingt ? Ah ouais, c’est plus jeune que ce que je pensais… J’en étais à mes premières années de fac. Attends que je me souvienne… Je n’étais pas particulièrement précoce, mais je me suis assez vite rattrapée après le lycée… Donc à la moitié, voire au trois quarts de l’année, j’en étais à quelque chose comme deux cent cinquante centimètres. Deux mètres cinquante de bite en moins de deux ans, pas mal hein !
— Ah quand même… Ça fait combien de mecs ça ?
— Ben, trois pendant le lycée, et puis neuf pendant les deux premières années, plus trois entre les deux premières années. Ça fait quinze. Si tu calcules, ça fait une moyenne de quinze centimètres avec trois ou quatre gars qui dépassaient largement la moyenne.
— D’accord… Et tu as fini à combien ?
— De ? Mecs ou mètres ?

Je n’en crois pas mes oreilles, sortie de son contexte, et même dans son contexte, ...