Ma belle-sœur - Histoires de Sexe

Ma belle-sœur

... ma belle-sœur.

À l’écran, on voyait maintenant un gros plan sur la queue de l’amant entrant et sortant du cul du mari soumis. Je ne pouvais détacher mon regard de cette vidéo qui m’excitait au plus haut point malgré moi.

— Avoue que ça t’excite.

Ses mains étaient à présent posées sur mes hanches, je sentais son souffle sur ma nuque…

— T’aimerais bien être à sa place, hein ?

Sa main gauche glissa jusqu’à mon sexe tendu à travers le tissu.

— Regarde comme tu bandes devant cette belle queue ; ose me dire qu’elle ne te fait pas envie… T’aimerais bien la sucer hein ?

Elle présenta ses doigts à ma bouche que j’ouvris instinctivement, sans réfléchir.

— Oui, comme ça. Suce-moi bien, petite salope…

Elle glissa une jambe entre les miennes que j’écartai presque machinalement. Sa cuisse était à présent contre mon cul. Instinctivement, je me mis à onduler du bassin pour me frotter contre sa cuisse.

— Hummm oui, t’aimes ça, frotter ton petit cul… Ça t’excite, hein ? T’aimerais bien que je t’encule !
— Nooonnn, dis-je d’une voix peu convaincante tandis qu’elle sortait ses doigts de ma bouche pour les glisser dans mon sillon, effleurant mon anus au passage. Je ne pus retenir un gémissement.
— Non ? T’es sûr ?

Elle continuait son manège, allant et venant de haut en bas entre mes fesses, et je gémissais à chaque fois. Un doigt faisait maintenant le tour de mon œillet, le caressait.

— Hummm…
— Tu vois que t’aimes ça, petite salope : regarde comme ton ...

... petit trou réclame mon doigt.

Elle venait de le poser à son entrée, le titillant juste ce qu’il faut pour me faire gémir un peu plus.

— Laisse-toi aller ; dis-moi ce que tu ressens.
— C’est boooonnnn !
— Tu veux que je continue ?
— Ouiiii…
— Et maintenant tu les veux, mes doigts ?
— Ouiiii !
— Je veux t’entendre me le demander !
— Prends-moi, s’il te plaît…
— Mieux que ça, petite chienne !
— Encule-moi, je t’en prie…
— Voilà qui est mieux.

À peine avais-je fini ma phrase que je sentis son doigt écarter lentement mes sphincters. Je ne pus retenir un râle de plaisir… Des frissons me parcouraient le bas du dos, mon anus s’ouvrait pour accueillir ce doigt, source de tant de plaisirs. J’en tremblais. Elle faisait aller et venir ce doigt en moi, bientôt rejoint par un deuxième, me caressant les cuisses, le torse, me pinçant délicatement le téton de son autre main… J’étais sa chose, à sa merci.

Mon bassin ondulait maintenant, allant à la rencontre de ses doigts, me les enfonçant profondément telle une pute assoiffée de sexe. Les frissons me parcouraient maintenant toute la colonne, haletant comme une chienne assoiffée de sexe. Elle avait raison : je n’étais qu’une petite pute, et j’aimais ça. J’adorais tellement ça que j’en redemandais.

— Vas-y, ma petite salope, prends ton pied, petit pédé… Tu aimes te faire enculer, hein ? Je vais te faire jouir du cul. Tu sens le plaisir monter dans tes reins ?
— Oui, oui, oui, je suis ta pute ! Baise-moi, oui, encore, c’est ...